Manolis Kalaitzidakis, le père de la famille paléochrétienne, a parlé à ANT1 de son choix de suivre le christianisme primitif, de son travail, ses enfants et son trouble bipolaire diagnostiqué.
“On m’a diagnostiqué un trouble bipolaire mais je n’ai pas eu besoin d’être hospitalisé. J’ai bénéficié de l’air frais et de la tranquillité d’esprit que j’ai. J’ai obtenu la certification pour effectuer mon transfert. Je leur ai fait un faveur parce que je pourrais toucher une pension et non pas travailler. Mais je me sens quand même productif, je ne voudrais pas sortir dans la rue et qu’on me dise que j’ai 45 ans et que je suis à la retraite. Pour un cas très simple, le toute la rigueur de la loi a été appliquée à moi et à ma famille. J’ai été traîné devant les tribunaux avec des barypionites.
Il a ensuite parlé de son choix de suivre le christianisme primitif. “Je suis un vieux calendrieriste, les vieux calendriernistes sont des chrétiens orthodoxes. J’ai rencontré un ancien ecclésiastique et c’est comme ça que je suis devenu.”
Il a continué à parler de sa vie et des métiers qu’il a exercés : “Je suis devenu père et j’ai dû vivre, j’ai fait tout ce que je pouvais pour vivre, la livraison, la construction et bien plus encore”.
Il a ensuite évoqué son travail dans la municipalité d’Ilioupoli en disant : “Je suis entré dans la municipalité d’Ilioupoli après une aventure avec mon premier mariage, j’ai eu beaucoup d’enfants, j’ai eu des taupes car ma mère était handicapée et c’est comme ça que je suis entré”. “C’est dommage que les gens avec qui je parle depuis 10 ans, comme ma belle-mère et mon oncle, parlent de moi.”
Concernant ses enfants et leur accueil par le Sourire de l’Enfant, il a déclaré : « J’ai eu des problèmes avec ma première femme et les enfants étaient allés au Sourire de l’Enfant et y avaient été hébergés parce qu’elle était incapable, pour diverses raisons sociales, de les élever. ” J’ai été obligé de reprendre les gars devant les tribunaux, ils étaient là depuis 10 ans. J’ai tardé parce que c’est un processus qui prend du temps. ”
En raison de la pandémie, il a été contraint de quitter Oropos et comme il l’a dit “Malheureusement, lorsque la pandémie a frappé, parce qu’il y avait une négligence dans tout, c’est-à-dire pour quitter ma maison, nous avons dû porter un masque, mais cela s’est traduit par 4 euros par jour. Une situation incroyable a été créée et en termes de travail, elle n’était pas rentable financièrement. Pas cher, ce n’est pas exactement comme ça, il y a aussi une qualité de vie à Corinthe dans laquelle nous vivons maintenant. Si je louais un sous-sol à Athènes, je vivraient probablement de plantes. Mes enfants seraient dans une boîte. ”
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“Les enfants apprennent à la maison”
Il a affirmé que le fait que ses enfants ne vont pas à l’école n’est pas le seul problème.
“Dans tous les problèmes, la seule chose qu’ils disent, c’est qu’ils ne sont pas allés à l’école. Quand j’étais petite, mon professeur m’a dit d’étudier pour ne pas devenir éboueur, et finalement j’ai étudié et je suis devenu éboueur. collectionneur Mon fils Christoforos a 10 ans et il est apiculteur et possède de nombreuses connaissances.
Il a de meilleures chances de survivre dans ce métier que s’il termine ses études. Les enfants apprennent à la maison, ils ne m’ont pas dit pourquoi je ne les envoie pas à l’école. L’éducation sexuelle viole nos croyances”, a-t-il déclaré.
Il a poursuivi en disant à propos du vaccin contre le virus corona que c’est la seule chose qu’il n’a pas faite car il s’agit d’une préparation et non d’un vaccin.
Le test ADN et le père de l’enfant de sa fille
“Je ne suis pas d’accord avec le test ADN car ils le conservent dans une banque et il peut être utilisé à l’avenir et il a été demandé par un procureur anonyme.
Je ne veux pas discuter des informations personnelles de mon enfant. Je ne veux pas dire dans le débat public quelque chose qui ait trait à la question d’un adulte”, a-t-il déclaré par la suite.
Dans la famille, ses enfants l’appellent souvent père, mais souvent ils s’appellent frères. “Tous les gens sont frères, nous avons le même père. Dans la famille, nous sommes appelés frères. On m’appelle papa et souvent frère.”
La petite église
“Nous vivons dans la caravane et à côté nous avons construit la petite église, ce n’est pas un terrier. Certains d’entre nous dorment dans la caravane, d’autres dans la cabane. Nous avons trouvé la caravane auprès d’un vieil homme. Nous l’avons achetée pour un prix symbolique”, a-t-il expliqué à propos de ce dans quoi il vit.
“Dans la municipalité d’Eretria, j’ai travaillé au bureau de la circulation avec mon propre équipement, c’est pourquoi ils m’ont accepté pour travailler à domicile”, a-t-il poursuivi.
Qu’a-t-il dit à propos de sa femme ?
Enfin, il a mentionné sa femme Sevasti : “J’ai choisi de ne pas savoir où se trouve Sevasti. Je ne sais pas si elle a un téléphone portable avec elle”.
Son avocat a déclaré : « Il a eu une marge de manœuvre et a accepté de donner son ADN et il doit y avoir une ordonnance de poursuite formelle.
Le 27/02 aura lieu le procès de braconnage avec le chasseur”, a-t-il conclu.
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