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Polyarthrite rhumatoïde, importance des hormones féminines et habitudes malsaines – Corriere.it

Polyarthrite rhumatoïde, importance des hormones féminines et habitudes malsaines – Corriere.it

2024-02-17 10:54:45

De Elena Méli

Les facteurs hormonaux et reproductifs, tels que la durée de vie fertile ou le nombre d’enfants, peuvent affecter le risque de maladie. Beaucoup dépend aussi des mauvaises habitudes, comme le tabagisme et les kilos en trop.

L’polyarthrite rhumatoïde c’est une maladie beaucoup plus répandue parmi donne, qui touche trois à quatre fois plus souvent que les hommes. Et une partie du blâme semble résider dans facteurs hormonaux et une santé reproductive délicieusement féminine : entrer en ménopause trop tôt, avant 45 ans, mais aussi suivre un traitement hormonal substitutif ou avoir eu quatre enfants ou plus semble augmenter considérablement la probabilité de tomber malade.

Grande étude

Il l’a prouvé une enquête menée sur plus de 220 000 Britanniques suivis pendant douze ans, dont les données étaient disponibles dans la base de données UK Biobank : plus de trois mille femmes, soit 1,5 pour cent de la population étudiée, ont développé une polyarthrite rhumatoïde. En analysant l’association entre la probabilité de maladie et d’éventuels facteurs hormonaux et reproductifs, les chercheurs ont observé que les femmes ménopausées avant l’âge de 45 ans auraient un risque 46 pour cent plus élevé tomber malade par rapport à ceux qui ont atteint l’âge de 50-51 ans ; le risque augmente de 39 pour cent chez celles qui ont eu une vie reproductive de moins de 33 ans au total (ce n’est pas un hasard s’il y a une légère augmentation du risque même chez les femmes ayant des règles plus tardives, après l’âge de 14 ans) et par 46 pour cent chez ceux qui en ont suivi un la thérapie de remplacement d’hormone, alors qu’elle augmente de 40 pour cent si vous avez subi une hystérectomie (ablation de l’utérus). Avoir de nombreux enfants, quatre ou plus, augmenterait la probabilité, mais seulement légèrement.
Les chercheurs soulignent qu’il s’agit d’une étude observationnelle, donc incapable d’établir des relations de cause à effet, mais aussi que «les facteurs hormonaux et reproductifs affectent le risque de polyarthrite rhumatoïde, ils doivent donc être étudiés en profondeur pour comprendre s’ils peuvent suggérer des mesures plus ciblées». pour atténuer le risque de maladie chez certaines femmes”.

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Des choix qui aident

Tout est donc à approfondir et surtout ce sont des éléments qui ne dépendent pas de la volonté de chacun, si l’on exclut le choix du nombre d’enfants ; au lieu de cela, pour réduire le risque de polyarthrite rhumatoïde on peut faire beaucoup de choses avec les habitudes de vie. Une prédisposition génétique peut influencer la probabilité, mais aujourd’hui, il est clair que cela aussi tabagisme ou obésité ils peuvent être très négatifs, alors arrêter de fumer ou retrouver son poids idéal sont certainement deux choix protecteurs et vertueux. Il en va de même pour l’attention portée à l’hygiène bucco-dentaire, car même le parodontite, inflammation sévère des gencives, est associée à un risque plus élevé de polyarthrite rhumatoïde. Enfin, une alimentation saine et un mode de vie actif contribuent à maintenir le microbiote, c’est-à-dire la flore bactérienne intestinale, dans le meilleur équilibre possible : diverses études semblent en effet suggérer que des altérations de la quantité et de la qualité des bactéries intestinales sont associés à un risque plus élevé de certaines maladies auto-immunes, notamment la polyarthrite rhumatoïde.

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17 février 2024 (modifié le 17 février 2024 | 08:54)

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