A l’Ocean Race, les voiliers de course sont pilotés par des pilotes automatiques et des ordinateurs. Tout le monde n’aime pas ça.
L’espace est restreint : Boris Herrmann, skipper de l’équipe allemande Malizia, dans sa capsule.
Est-ce que ça navigue toujours ? Cette question se pose sans cesse sur les réseaux sociaux depuis le départ de l’Ocean Race à Alicante mi-janvier. Les commentateurs s’inquiètent du fait que les nouvelles versions des bateaux de course Open 60 n’ont plus de cockpit ouvert, comme c’était le cas avec les yachts de course plus anciens et plus grands. Ceux-ci avaient un ou deux grands volants à l’arrière, les timoniers se relayaient toutes les heures et dirigeaient les bateaux à travers les embruns et les vagues.
