Plus de la moitié des managers en Espagne ont démissionné ou envisagent de démissionner

Le rapport indique que près de la moitié des managers (44 %) ne sont pas entièrement satisfaits du degré d’autonomisation dont ils disposent dans leur poste. En ce qui concerne les styles de leadership, le style de leadership prédominant dans les entreprises espagnoles aujourd’hui est le style « démocratique », qui favorise la délégation et l’autonomisation, par rapport à celui traditionnellement appelé « autoritaire ». 78% des personnes interrogées ont observé des améliorations dans les processus de prise de décision, qui s’identifient à un meilleur leadership dans les entreprises (44% des réponses) et au recrutement de talents qui apportent de nouveaux points de vue et de nouvelles habitudes (36% des personnes interrogées).

Les données, les processus d’analyse et la technologie sont les leviers les plus intuitifs pour améliorer la prise de décision des entreprises. Cependant, l’étude indique que les « dirigeants d’entreprise » constituent le facteur commun (selon 44 % des personnes interrogées) ayant le plus grand impact sur l’amélioration des processus de prise de décision. De même, il convient de noter que 36 % des managers considèrent l’embauche de « nouveaux talents » comme un facteur clé pour améliorer la prise de décision.

«Les résultats de cette étude démontrent l’importance des processus décisionnels dans l’évaluation de l’adéquation des candidats aux organisations. Il est nécessaire que les attentes des candidats et des entreprises correspondent, pour garantir les résultats commerciaux et le développement de relations professionnelles à long terme », déclare Julio Moreno, associé principal chez Seeliger et Conde-Kingsley Gate.

La recherche a été réalisée auprès de 400 dirigeants mondiaux, dont 50 en Espagne, en collaboration avec FT Longitude, du groupe Financial Times.