Pascal Praud répond aux critiques sur la réécriture de Crépol dans “L’heure des pros” sur CNews

Ce matin, dans “L’heure des pros” sur CNews, Pascal Praud est revenu sur son édito de la veille intitulé “Crépol : une nouvelle version?”, qui a été commenté sur les réseaux sociaux. “Hier, j’ai été très attaqué, notamment par des journalistes, après ce que j’ai dit sur la réécriture de Crépol”, a-t-il débuté avant de lire le message posté sur X par Thomas Legrand, chroniqueur à “Libération”. Ce dernier a qualifié CNews de “chaîne sans journaliste, sans reportage, juste avec des polémistes polarisateurs” et qui “fait la leçon au vrai journalisme”. “Praud et CNews c’est le commentaire idéologique avant les faits”, conclut Thomas Legrand dans son message. “Je rappelle qu’à Crépol le procureur ne parle pas, les gendarmes ne parlent pas. Hier, il n’y avait rien de nouveau officiellement. C’est pour ça qu’on en n’a pas parlé. Je réponds à monsieur Legrand sur les réseaux sociaux et je constate qu’il est défendu par toute La France insoumise contre ma modeste personne”, a détaillé Pascal Praud. Le journaliste a ensuite évoqué le chroniqueur de BFMTV Pablo Pillaud-Vivien, qui est rémunéré par la chaîne info dirigée par Marc-Olivier Fogiel. “BFMTV nous envoie un de ses émissaires. Je comprends qu’à BFM on soit tendu ces derniers temps. Pour BFM et monsieur Pablo Pillaud-Vivien, j’ai des fantasmes idéologiques et je suis un raciste. Je remercie les dirigeants de BFM de nous envoyer leurs émissaires”, a poursuivi Pascal Praud. Et d’ajouter : “‘Quotidien’ nous a ciblés de la même manière. Tous les jours, ‘Quotidien’ me met une cible dans le dos avec des propos qui sont faux. Ce qu’a dit Julien Bellver [chroniqueur de l’émission de TMC, ndlr] est factuellement faux me concernant (…) Je veux bien qu’on soit attaqué matin, midi et soir. Je veux bien que Rodolphe Belmer, PDG de TF1, accrédite l’idée que je devienne une cible chaque jour pour Quotidien. Je veux bien. Je veux bien qu’il continue. Continuez ! A chaque fois, je réponds. Il est rare que j’attaque”.

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