08 jun 2023 om 19:46Update: 7 minuten geleden
Les Etats membres de l’Union européenne n’ont pas encore atteint d’avancée jeudi sur l’accueil, le retour et la répartition des demandeurs d’asile. En particulier, ils ne sont pas encore d’accord sur les pays où renvoyer les demandeurs d’asile qui ne sont pas les bienvenus.
Les 27 Etats membres sont “très proches” d’un accord, souligne la Suède, qui préside la réunion des ministres de la migration. S’ils sortent, cela ne veut pas dire qu’il y a un accord immédiat. Les États membres doivent d’abord négocier avec le Parlement européen.
Au sein de la réunion des ministres de la migration, une majorité se dégage en faveur, entre autres, d’une évaluation immédiate des demandeurs d’asile à la frontière extérieure européenne. Ceux qui n’ont aucune chance de rester pourraient être détenus en attendant le voyage de retour.
Les ministres semblent également être parvenus à un accord sur l’acceptation des demandeurs d’asile des “pays d’arrivée” tels que l’Italie et la Grèce.
Mais un certain nombre de pays du sud de l’Europe, l’Italie en tête, trouvent les critères proposés pour les “pays de reprise” trop stricts. Par conséquent, un demandeur d’asile débouté ne peut être renvoyé que dans un pays avec lequel il a des liens étroits, comme son pays de naissance.
Rome craint que si ce pays ne coopère pas, l’Italie se retrouve avec les demandeurs d’asile déboutés. L’Italie et d’autres pays veulent également pouvoir renvoyer les demandeurs d’asile vers, par exemple, un pays à partir duquel ils ont entrepris le voyage vers l’Europe. L’Allemagne veut s’en tenir aux conditions strictes.
L’incarcération possible des jeunes provoque la division
Berlin a avalé un autre souhait. L’Allemagne a d’abord insisté pour que les familles avec enfants ne soient pas détenues dans des centres à la frontière extérieure. Ce serait encore possible.
L’incarcération possible des jeunes provoque la division aux Pays-Bas. L’armoire est pour cette option. Mais les factions parlementaires des partis de coalition D66 et ChristenUnie ne veulent pas que les familles soient enfermées.
Le secrétaire d’État Eric van der Burg (Asile) et ses collègues des 26 autres pays de l’UE négocient pour trouver un accord.
2023-06-08 20:46:49
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