2024-05-12 01:00:01
En Autriche, non seulement des fleurs, des chocolats, des poèmes et des voyages ensemble font partie du programme de la Fête des Mères, mais aussi l’obligatoire « Fête des Mères » devant la télévision. Le film de Harald Sicheritz dresse un portrait merveilleusement mordant du microcosme d’un bâtiment municipal viennois. Entre vie quotidienne rude et esthétique des planches à clin, l’élite autrichienne du cabaret livre un assortiment de poésies de jurons viennoise merveilleusement élaborées. Pour tous ceux qui souhaitent vivre un peu de « Fête des Mères » chaque jour, nous avons soigneusement noté et choisi nos citations préférées du film, qui peuvent être étonnamment bien adoptées dans la vie de tous les jours. Comme le dirait Reinhard Nowak dans le rôle d’Edwin Neugebauer : « Très bien ! »
Vous pouvez regarder le film à la télévision cette année 12 mai à 20h15 sur ORFeins voir.
Envolées pédagogiques
“Il n’y a rien de plus ennuyeux que quand quelqu’un voit que vous avez vu quelque chose”, enseigne la mère Trude (Andrea Handel) à son fils Mischa (Alfred Dorfer) en lui couvrant les yeux alors qu’elle croise une bande d’escrocs.
«Il n’y a certainement plus de quoi rire de stupide maintenant», dit la chef scoute (Andrea Merchant) à son mauvais groupe d’adolescents.
Se sortir habilement de l’affaire
“Je ne t’entends pas quand tu parles tout le temps.” Les meilleurs dictons viennent clairement de grand-père Neugebauer (Roland Düringer). Juste comme ça:
«Je l’ai tout de suite sucé, je n’en voulais pas», dit-il après avoir amené le cobaye Willi et la visiteuse Evelyn Schöbinger (Eva Billisich) au coin de la rue. Mais il peut être adapté à chaque incident, petit ou majeur.
«Je viens de jeter un œil», le voleur à l’étalage quitte le magasin avec le sourire. Bon mouvement.
Quelques insultes entre les deux
«Blada, ouvre le Ventü», dit Roland Düringer en escroc à Herwig Seeböck en détective de grand magasin et enfonce sa chope de bière dans ses parties molles. Très élégant. Et puis il a le classique en réserve :
“Ne t’en fais pas, ours hustinette!”
L’affirmation de soi rendue facile
“C’est fini !”, crie Edwin Neugebauer au visage d’Evelyn Schöbinger alors que son collier explose. D’ailleurs, il peut être adapté pour tous les prénoms.
“Je ne suis pas intervenu, vous m’avez gêné !”, proteste Evelyn lorsque les Neugebauer ne la laissent pas partir. Dans combien de situations cette phrase n’aurait-elle pas bien fonctionné pour nous ?
«C’est un jour heureux pour ta mère. Et nous tous !! », crie Edwin à son fils. Nous pouvons également prendre cela très à cœur aujourd’hui. Même si nous ne devrions probablement pas le crier à nos mères avec un visage rouge.
Continuer la lecture:
Cadeaux de dernière minute pour la fête des mères
Des événements sympas pendant la semaine à Vienne
#Nos #citations #préférées #Fête #des #Mères #1000choses
1715553909