La municipalité avait en tête le bateau de croisière GNV Aurelia pour accueillir près de 1 100 réfugiés d’Ukraine. Mais les émissions d’azote sont trop importantes. C’est un navire plus ancien qui ne peut pas être connecté à l’alimentation à quai, il dépend donc de générateurs qui émettent de l’azote. Toutes les mesures de limitation de l’azote ont été étudiées, rapporte le maire Jan Hamming, mais elles offrent des possibilités insuffisantes pour limiter les émissions dans les limites des normes d’azote applicables.
La municipalité continuera à chercher un endroit pour abriter les Ukrainiens. Le déploiement d’un navire reste possible. Zaanstad considère qu’il s’agit d’une option intéressante car elle ne coûte aucun temps de construction et peut être immédiatement retirée lorsque l’abri n’est plus nécessaire.