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Naviguer dans le labyrinthe juridique de la réinstallation parentale en cas de divorce | Lowndes

Naviguer dans le labyrinthe juridique de la réinstallation parentale en cas de divorce |  Lowndes

2023-09-26 22:53:16

L’actualité des célébrités attire souvent l’attention de tous, surtout lorsqu’il s’agit d’un divorce qui se joue à la fois devant le système judiciaire et aux yeux du public. Récemment, les gros titres ont fait suite au divorce du couple de célébrités Joe Jonas et Sophie Turner et à leurs problèmes de garde. Organismes de presse ont cité des documents déposés par Turner alléguant que la résidence principale de leurs enfants était (ou avait l’intention d’être) en Angleterre plutôt qu’aux États-Unis. Que ce soit à l’échelle internationale ou nationale, déterminer où vivront les enfants après un divorce peut être problématique, en particulier lorsque chaque parent revendique un lieu différent comme résidence principale ou État d’origine de l’enfant. Cela peut également poser problème si l’un des parents souhaite déménager avec les enfants.

En Floride, le « déménagement » parental avec un enfant est défini comme un parent changeant de résidence principale par rapport à ce qu’elle était soit (a) au moment de la dernière ordonnance de partage de temps (par exemple après qu’un jugement de divorce ait déjà été prononcé), soit ( b) au moment du dépôt d’une action en cours pour établir ou modifier le temps partagé (par exemple lorsqu’une procédure de divorce ou de paternité est en cours). Selon la loi sur la réinstallation de Floride, pour être considéré comme une « réinstallation », le nouvel emplacement doit être à au moins 50 miles de cette résidence pendant au moins 60 jours consécutifs. Les absences temporaires pour certaines raisons, comme les vacances, les études ou les soins de santé de l’enfant, ne sont pas incluses dans ce calcul.

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Si un parent souhaite « déménager » (c’est-à-dire qu’il envisage de déménager de façon permanente à plus de 50 miles de sa résidence principale actuelle avec un enfant après qu’un horaire de partage de temps soit déjà en place ou qu’une affaire visant à déterminer un tel horaire soit en cours), le parent qui déménage doit obtenir soit l’accord de l’autre parent, soit l’autorisation du tribunal. Plus précisément, les parents peuvent conclure un accord écrit consentant au déménagement et inclure un horaire de partage de temps longue distance. S’il n’y a pas d’accord, le parent souhaitant déménager avec le ou les enfants doit déposer une requête de déménagement auprès du tribunal. Cette pétition doit inclure certaines informations, telles que le lieu où ils ont l’intention de résider et un exposé détaillé des raisons spécifiques du déménagement proposé.

L’article 61.13001 (loi sur la réinstallation en Floride) prévoit divers facteurs que le tribunal doit prendre en compte pour déterminer s’il doit accorder la réinstallation demandée. Ceux-ci incluent l’âge et le stade de développement de l’enfant ; la faisabilité de préserver la relation entre l’enfant et le parent qui ne déménage pas ; la préférence de l’enfant (en tenant compte de son âge et de sa maturité) ; si le déménagement améliorera la qualité de vie du parent et de l’enfant ; et d’autres facteurs pertinents.

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Il est intéressant de noter que la « réinstallation » peut ne pas être la question initiale s’il y a un différend au début d’une affaire quant à l’emplacement de la résidence « principale » de l’enfant et/ou de son « État d’origine ». Il s’agit de l’État dans lequel l’enfant a vécu avec un parent pendant au moins six mois consécutifs immédiatement avant d’entamer une procédure de multipropriété. Par exemple, si l’un des parents affirme que l’État d’origine/la résidence principale de l’enfant est établi dans un endroit situé à plus de 80 kilomètres de l’autre parent au moment de l’introduction d’une action en temps partagé (et que l’autre parent n’est pas d’accord), le tribunal devra peut-être d’abord résoudre ce dilemme juridictionnel.

Gérer les questions de compétence et de réinstallation peut être complexe et difficile, d’autant plus que le bien-être des enfants mineurs est au centre de ces décisions.

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