Le chef de la police Général Listyo Sigit Prabowo a déclaré que son parti devait encore explorer le motif du meurtre prémédité du brigadier Nofriansyah Yosua Hutabarat alias Brigadier J..
Listyo a déclaré que les enquêteurs examineraient l’épouse de l’ancien chef de la police de Propam, l’inspecteur général Ferdy Sambo, Putri Candrawati. Selon lui, l’un des éléments qui feront l’objet d’une enquête est lié à l’infidélité ou au harcèlement.
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“Actuellement, nous transmettons que le motif a été déclenché par un rapport du PC lié à des questions morales”, a déclaré Listyo en marge d’une réunion avec la Commission III du RPD RI, Senayan, Jakarta, mercredi (24/8).
“C’est pour répondre à la question entre harcèlement ou infidélité, nous enquêtons. Il n’y a donc pas de problèmes au-delà de cela, nous le confirmerons demain après l’examen final”, a-t-il ajouté.
Listyo a expliqué que jusqu’à présent, les informations reçues par l’équipe spéciale de la police concernant le mobile du meurtre du brigadier J étaient liées à la question de la décence.
D’après les résultats de l’examen de Sambo, a déclaré Listo, la personne concernée a également admis avoir été déclenchée par sa colère et ses émotions lorsque Putri a signalé un incident de décence à Magelang.
Néanmoins, Listyo a admis qu’il était toujours en train d’explorer la vérité véhiculée par Sambo concernant le mobile du meurtre.
“Nous confirmerons cela demain après l’inspection finale”, a-t-il déclaré.
Dans le cas du meurtre du brigadier J, jusqu’à présent, la police a désigné cinq personnes comme suspectes. Ils comprenaient l’inspecteur général Ferdy Sambo, Bharada E, Bripka RR et l’assistant domestique Kuwat Maruf, ainsi que l’épouse de Sambo, Putri Candrawathi.
Les suspects ont été inculpés de l’article 340 subsidiaire de l’article 338 du Code pénal combiné avec l’article 55 du Code pénal combiné avec l’article 56 du Code pénal. Quatre suspects ont été arrêtés, tandis que Putri attend toujours une enquête plus approfondie.
À cet égard, l’inspection spéciale a examiné 97 membres du personnel de Polri concernant des allégations de manque de professionnalisme dans le traitement du cas du décès du brigadier J survenu à la résidence officielle de Sambo. Au total, 35 policiers ont été déclarés soupçonnés d’avoir violé la déontologie.
(tfq/depuis)