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Mélanome cutané : comprendre cette forme agressive de cancer de la peau

Mélanome cutané : comprendre cette forme agressive de cancer de la peau

Le mélanome cutané est l’un des cancers de la peau les plus agressifs. Il est important de savoir que ce cancer peut être prévenu en prenant des mesures simples et efficaces pour protéger sa peau des rayons UV. En effet, le mélanome cutané est principalement causé par l’exposition excessive au soleil. Dans cet article, nous allons expliquer les causes, les signes précurseurs et les mesures préventives à prendre afin d’éviter ce type de cancer. En comprenant mieux les facteurs de risque et les symptômes du mélanome cutané, vous pourrez adapter votre comportement et votre mode de vie pour mieux vous en prémunir.


Le mélanome cutané est la forme la plus agressive de cancer de la peau et représente 1,6 % des cancers diagnostiqués mais est responsable de plus de 70 % des décès par cancer cutané. L’origine du mélanome est complexe et implique des facteurs environnementaux, phénotypiques et génétiques. Les principaux facteurs de risque sont les antécédents personnels et familiaux de mélanome, la présence d’un grand nombre de grains de beauté sur la peau et la pigmentation cutanée de base. Les mélanomes peuvent être diagnostiqués en observant des changements dans la surface, les bords ou la couleur des grains de beauté existants ou de nouvelles taches pigmentaires. En cas de doute, un dermatologue peut réaliser une ablation de la lésion pour en faire l’analyse en utilisant des critères définis par un système international appelé AJCC. Le traitement du mélanome dépend de l’épaisseur de la tumeur diagnostiquée. Les mélanomes fins sont généralement guéris par une exérèse chirurgicale large alors que les mélanomes épais nécessitent généralement des traitements ciblés ou une immunothérapie. Depuis 2011, des progrès ont été réalisés dans le traitement du mélanome cutané métastatique avec l’avènement de thérapies ciblées et d’immunothérapies qui ont permis d’améliorer significativement la survie des patients. Malgré ces avancées, de nombreux patients sont encore en impasse thérapeutique.

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