Les autorités américaines affirment que Neil Phillips avait besoin du rand pour se renforcer par rapport au dollar.
La banque n’a pas été identifiée dans l’acte d’accusation ni dans les documents déposés devant le tribunal, mais son nom est apparu à la fin du mois dernier lors d’une lutte pour savoir quels témoins experts seraient autorisés à prendre la parole lors du procès de Phillips. L’ancien chef des hedge funds cherche à faire témoigner un ancien trader de JPMorgan Chase & Co. pour affirmer que Morgan Stanley aurait dû se couvrir contre l’option.
Les procureurs fédéraux de Manhattan affirment que Phillips a commis une fraude sur les matières premières en dirigeant des transactions de 725 millions de dollars visant à augmenter la valeur du rand sud-africain le 26 décembre 2017. Selon l’acte d’accusation, il cherchait à déclencher l’option à un taux barrière de R12. 50 contre le dollar américain avant d’expirer dans quelques jours.
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2023-10-10 13:51:24
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