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L’indemnité de départ différée et échelonnée est inconstitutionnelle. Menace de 14 milliards sur l’INPS

L’indemnité de départ différée et échelonnée est inconstitutionnelle.  Menace de 14 milliards sur l’INPS

2023-06-24 08:58:00

L’indemnité de départ différée et échelonnée est inconstitutionnelle. La décision de la Consulta

La retraite d’un fonctionnaire peut signifier des années d’attente pour obtenir le Tfrqui peut également être prolongé. Une mesure réservée aux seuls salariés du secteur public, contre laquelle un recours a été proposé à la Cour constitutionnelle pour sanctionner l’illégitimité de la loi. Décision qui est arrivée et qui définit la disposition comme « vulnus » et délègue au législateur le soin de remédier à un conflit avec les règles constitutionnelles sur le juste salaire.

En particulier, selon la Consulta, le report du versement des indemnités de départ (TFS) dues aux agents publics ayant cessé leur emploi pour cause d’âge ou de limite de service est contraire au principe constitutionnel de juste rémunération, dont ces prestations constituer un composant ; principe qui se justifie non seulement par la congruence du montant payé, mais aussi par la ponctualité du déboursement. Comme l’écrit La Stampa, l’affaire “affecte une véritable armée de personnes (1,6 million selon les estimations de l’Uil sont en attente de liquidation) déjà l’année prochaine, elle pourrait entraîner une dépense d’environ 14 milliards d’euros par rapport aux 150 000 sorties prévues en 2024 “.

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La consultation invite le législateur à y remédier

Il s’agit d’un émolument visant à répondre aux besoins spécifiques du travailleur dans une période particulière et plus vulnérable de l’existence humaine. Compte tenu de l’impact financier important qu’implique le dépassement du report, il appartient au législateur d’identifier les moyens et les modalités de mise en œuvre d’une réforme qui tienne également compte des engagements pris dans le cadre de la précédente programmation économico-financière.

Cela a été confirmé par la sentence n.130 (éditée par la juge Maria Rosaria San Giorgio) de la Cour constitutionnelle, avec laquelle les questions de légitimité constitutionnelle de l’art. 3, alinéa 2, du décret-loi n. 79 de 1997, tel que converti, et de l’art. 12, paragraphe 7, du décret législatif 78 de 2010, tel que converti, qui prévoient respectivement le report et le versement des services. Les questions avaient été posées par le Tribunal administratif du Latium, troisième section quater, en référence à l’art. 36 de la Constitution

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Cependant, le pouvoir discrétionnaire du législateur à cet égard – a précisé la Cour – n’est pas illimité dans le temps. ET le maintien excessif de l’inertie législative ne serait pas tolérable, tenant également compte du fait que la Cour avait déjà adressé au législateur, par la sentence n° 159 de 2019, un avertissement signalant le caractère problématique de la législation en question.

La Cour relève ensuite que la réglementation du versement échelonné des indemnités de fin de service prévoit des tempéraments en faveur des bénéficiaires des prestations les plus faibles. En tout état de cause, conclut la Cour, cette législation – qui était liée à des besoins contingents d’assainissement des finances publiques – conjuguée au report du service, finit par aggraver la vulnérabilité identifiée.

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