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L’homme qui a brutalement agressé la Russe Bernadette a été condamné à un an et dix mois de prison.

L’homme qui a brutalement agressé la Russe Bernadette a été condamné à un an et dix mois de prison.

12 février 2024 – 11h28

L’agresseur de Bernadette Orosz, qui l’a battue si brutalement il y a quatre ans que sa santé a subi des dommages permanents et une grave détérioration, a été condamné par le tribunal. Lundi, il a été condamné sans jugement à une peine de prison d’un an et dix mois, rapporte un Coup d’oeil.

Le parquet a inculpé l’homme de tentative de coups et blessures mettant la vie en danger et de tentative de coups et blessures graves. Lors de la réunion préparatoire, le parquet a demandé que l’homme soit condamné à trois ans et demi de prison s’il avouait, ce qu’il n’a pas accepté.

Bernadett Orosz et son agresseur ultérieur se sont rencontrés en 2018. Leur relation était conflictuelle en raison de la jalousie de l’homme. K. István a été accusé de trois agressions au total, la plus grave ayant eu lieu le 9 novembre 2019. Le couple a participé à un événement lors de la fête militaire à Bujak, après le dîner dans leur chambre à l’étage, l’homme ivre est devenu jaloux et, dans la querelle qui a suivi, il a frappé la femme au front, qui l’a ensuite exclu de la pièce. Plus tard, l’homme s’est jeté sur elle en brisant la porte et l’a maltraitée pendant longtemps.

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Lors d’un précédent procès, l’avocat qui représentait l’homme avait fait valoir que la maltraitance constituait une catégorie juridique, mais que seule une personne possédant une expertise particulière pouvait juger des conséquences de la maltraitance. Bernadett Orosz a alors indiqué qu’elle souhaitait quitter la salle d’audience. Il l’a déclaré à notre journal : il ne voulait pas se traumatiser à nouveau.

Il n’est pas sans précédent que les victimes d’abus et de violence conjugale subissent un traumatisme au cours de leur procédure pénale. Alors que la justice utilise tous les moyens pour découvrir la vérité, les victimes ont souvent le sentiment qu’elles seront à nouveau victimes – non plus de leur agresseur, mais du système.

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