Dans une étude récente, les étoiles semblables au soleil ont d’étranges rotations orbitales détectées dans les données de Observatoire Gaia de l’ESA. En raison de la nature quelque peu inhabituelle de son orbite, l’équipe a conclu qu’elle devait faire partie d’un système binaire de trou noir.
Cela en fait le trou noir le plus proche de notre système solaire et signifie qu’il existe de nombreux trous noirs dormants dans notre galaxie.
L’étude a été dirigée par Karim El-Badri, membre de la Harvard Society Fellow en astrophysique au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics (CfA) et au Max Planck Institute for Astronomy (MPIA). Il a été rejoint par des chercheurs du CfA, du MPIA, de Caltech, de l’UC Berkely, du Flatiron Institutes Center for Computational Astrophysics (CCA), de l’Institut Weizmann des sciences, de l’Observatoire de Paris, du MIT Kavli Institute for Astrophysics, Space Research et de plusieurs universités. Cet article décrit les résultats et a été publié dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society.
Les observations font partie d’une campagne plus large visant à trouver des compagnons de trous noirs dormants à partir d’étoiles ordinaires de notre galaxie. Dans cette étude, El-Badri et son équipe se sont appuyés sur les données obtenues de l’observatoire Gaia de l’ESA. Leur analyse a trouvé un bon candidat, un type G (étoile jaune) nommé Gaia DR3 avec un grand nombre après DR3, pour leurs besoins appelés Gaia BH1. Sur la base de la résolution orbitale, Al-Badri et son équipe ont décidé que cette étoile devait avoir un compagnon binaire issu d’un trou noir inactif.
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