Les Rangers ont rempli un trou parmi les six premiers avec l’acquisition le 9 février de Vladimir Tarasenko des Blues, puis ont amélioré la quatrième ligne avec la réacquisition dimanche de Tyler Motte des Sénateurs.
Mais dans une puissante conférence de l’Est qui deviendra plus un gant si les Devils ou ‘Canes repartent avec les Sharks’ Timo Meier, il semble toujours que les Blueshirts pourraient encore être un peu timides – et sans l’espace de casquette nécessaire pour être en mesure de faire un autre ajout substantiel.
Le directeur général Chris Drury aura une prévision de 909 000 $ à la date limite avec laquelle travailler, et si vous savez quelque chose, 909 000 $ ne vont tout simplement pas aussi loin qu’avant. Même une rétention de 50% à l’autre extrémité ne dégagerait pas assez d’espace pour faire une autre éclaboussure.
Mais que se passerait-il si les Blueshirts pouvaient ajouter 2 millions de dollars supplémentaires d’espace de délai d’un simple clic sur une touche d’ordinateur ? Et si les Rangers pouvaient encore trouver un moyen de débarquer Patrick Kane ?
Et si les Rangers pouvaient présenter un top six composé de Kane, Tarasenko, Mika Zibanejad, Artemi Panarin, Chris Kreider et Vincent Trocheck en plus des Kids et une quatrième unité qui comprendrait Motte, Barclay Goodrow et Jimmy Vesey ?
Et s’ils pouvaient s’y préparer en renonçant à Vitali Kravtsov ?
Eh bien, ils pourraient.
Après plus d’une semaine de hiérarchie pendante à Kravtsov, qualifier l’intérêt pour le n°74 de “doux” représenterait l’exagération de l’année. Il semble n’y avoir aucun intérêt pour l’ailier de 23 ans.
Je trouve quelque peu étrange qu’aucune des équipes en lice pour les séries éliminatoires ne prenne un dépliant sur ce talentueux Russe, mais on nous dit qu’il y a une crainte que Kravtsov, un agent libre restreint en attente, revienne dans la KHL la saison prochaine.
Il y a une semaine, après avoir confirmé que Kravtsov avait demandé à être déplacé, j’ai écrit que ce serait une erreur de lui proposer une location de quatrième ligne et que le directeur général devrait exiger plus de valeur en échange de la neuvième sélection globale du 2018. brouillon. J’ai écrit trop tôt.
Parce que sans marché, Kravtsov – éliminé pour un cinquième match consécutif et neuvième fois dans les 10 derniers pour le match Garden de lundi contre Winnipeg – coûte maintenant l’espace de casquette des Rangers et une place sur la liste. Et sa présence continue sur la liste empêche Drury de chasser davantage au gros gibier.
Selon CapFriendly, soustraire Kravtsov de la liste mercredi ajouterait un peu moins de 2 millions de dollars supplémentaires en capital à l’échéance. Cela s’appliquerait si les Blueshirts placent le n ° 74 sur les dérogations mardi, qu’il soit réclamé ou dégagé.
En faisant comme le président remplaçant Bill Mitchell lors de la réunion du cabinet dans le film, “Dave”, vous prenez cela, ajoutez-le aux 909 000 $ d’origine, ce qui vous donne environ 2,9 millions de dollars, vous obtenez que les Blackhawks conservent la moitié des 10,5 millions de dollars de Kane atteint le plafond, vous demandez à une autre équipe de prendre la moitié des 5,25 millions de dollars qui en résultent et le tour est joué, la charge de plafond ultime de Kane devient 2,625 millions de dollars, ce qui convient et est le bienvenu à Broadway, n ° 88.
Maintenant, il y a beaucoup de cerceaux à travers lesquels Drury et les Rangers devraient sauter pour que cela se produise. Kane, qui a enregistré un tour du chapeau dimanche contre une équipe de Toronto qui serait intéressée à l’acquérir, n’a pas renoncé à son refus, bien qu’il ait donné une indication assez décente qu’il le ferait si cela l’amenait à l’île de Manhattan. .
Ensuite, bien sûr, il y a les atouts que les Rangers devraient sacrifier pour y parvenir. Il n’y a absolument aucun appétit au sein de la hiérarchie pour déplacer le dernier joueur de premier tour du club lors du repêchage de cette année, et le même décret de non-intervention s’appliquera à Brennan Othmann, Will Cuylle et les blue-chipers du club.
Ce serait un défi de le faire, mais si Kane – visiblement déçu en apprenant que les Blueshirts avaient acquis Tarasenko – dit à Chicago qu’il renoncerait à l’interdiction de bouger uniquement pour un échange avec les Rangers, le coût pourrait devenir gérable.
Vous n’avez pas besoin de me dire que c’est une sorte de babillard électronique ou de talk-radio. Un titre de clickbait pourrait lire: “Les Rangers peuvent échanger Kravtsov contre Kane.” J’ai reçu une multitude de DM, d’e-mails et de SMS à la suite de l’accord avec Tarasenko demandant si l’équipe pouvait toujours obtenir Kane. J’ai répondu de la même manière à chacun d’eux : Non.
J’ai vu les choses comme je pensais qu’elles étaient et j’ai expliqué pourquoi, mais maintenant je me demande pourquoi pas ?
Les Rangers ont grandi à pas de géant tout au long de l’hiver. Ils sont devenus une très bonne équipe, quatrième au classement général de la LNH avec un pourcentage de 0,670 qui se traduit par une deuxième saison consécutive de 110 points. Ce sont des prétendants. Il en va de même pour Boston, la Caroline, le New Jersey, Toronto et Tampa Bay, qui vont tous ajouter avant le 3 mars.
Si Kravtsov efface, ce serait un avantage en soi en le mettant dans la position d’obtenir un travail de premier plan cohérent avec le Wolf Pack. Cela le préparerait si les Rangers avaient besoin de l’ailier en séries éliminatoires à cause de blessures.
Mais si réclamé, ce n’est pas comme si les Blueshirts l’auraient perdu pour rien. Essentiellement, ils l’auraient échangé contre 2 millions de dollars d’espace de plafond… et la possibilité d’ajouter Patrick Kane.
