Les marchés actions progressent timidement malgré les données économiques encourageantes aux États-Unis et la publication de nombreux résultats d’entreprises, notamment des financières américaines. Le CAC40 a toutefois atteint un nouveau zénith à 7485 points, grâce à la performance de ses fleurons du luxe. Le Nikkei 225 est en hausse de 1,2%, tandis que les places chinoises progressent plus légèrement. L’agenda macro est marqué par les ventes de détail et l’indice de confiance de l’Université de Michigan aux États-Unis. En France, Hermès a affiché des ventes trimestrielles meilleures qu’attendues. Des sociétés comme TotalEnergies, Vinci, Canal+ et Kaufman & Broad ont également fait des annonces importantes.

Depuis plusieurs années maintenant, les émissions de télévision consacrées aux achats et à la rénovation immobilière sont devenues très populaires. Parmi elles, Toujours ça de prix, diffusée sur France 2, a acquis une certaine notoriété auprès du public français. Cette émission met en avant des acheteurs immobilier qui cherchent des biens à des prix abordables et des artisans qui rénovent ces propriétés. Dans cet article, nous allons explorer le concept de Toujours ça de prix, revenir sur son histoire et nous interroger sur les raisons de son succès.


Les marchés actions ont augmenté hier, soutenus par les données positives sur les prix à la production aux États-Unis, mais la dynamique de fond demeure fragile. Les résultats d’entreprises pour le premier trimestre sont attendus, notamment ceux des financières américaines telles que JPMorgan, Wells Fargo et Citigroup. Les ventes de détail, l’indice de confiance des consommateurs américains et un discours d’un membre du conseil des gouverneurs de la Fed seront également des points de focalisation pour les investisseurs. Sur les tablettes, il y aura également les résultats attendus de UnitedHealth et BlackRock. Ailleurs, en Asie, le Nikkei 225 japonais a augmenté de 1,2 %, le Footsie britannique a gagné 0,24 % et le DAX allemand a grignoté 0,16 %. Le franc suisse a été abaissé ainsi que l’objectif de Crédit Suisse de 2,30 à 0,80 CHF, tandis qu’Epiroc a été relevé par Crédit Suisse de neutre à surperformance.