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Les lieux emblématiques et les figures historiques jalonnent la BD “Chartres, une ville à travers une vie”, les avez-vous reconnus ?

Les lieux emblématiques et les figures historiques jalonnent la BD “Chartres, une ville à travers une vie”, les avez-vous reconnus ?

Dans ce récit autonome de 52 pages, qui peut également se lire comme la suite de Chartres, 2.000 ans d’histoire de Francepublié en 2020 par Atocom, le lecteur revisite la grande et la petite histoire de la ville, en compagnie du grand témoin de la bande dessinée “Chartres, une ville à travers une vie”, cette “petite” Jeanne, née le 1er août 1914, dans le centre-ville de Chartres.

À travers les yeux de celle qui deviendra l’une des premières journalistes de L’Écho Républicainle lecteur traverse la destinée d’une ville mutilée par les deux guerres mondiales, puis irriguée par les grands programmes de rénovation urbaine et commerciale, à l’aube des années 60, avant le réaménagement de son hypercentre, à partir des années 2000.

prime Jeanne, héroïne d’une BD sur l’histoire de Chartres, sort de sa bulle

Dans le sillage de Jeanne, regard lucide du journaliste local et incarnation de tous ces Chartrains anonymes, la somme des petites histoires convoque la grande. On y croise les figures héroïques de Jean Moulin et du général de Gaulle ; on assiste aux bombardements de Chartres en 1944, dont l’indélébile balafre mutile encore la basse ville, décapitée de sa Porte-Guillaume ; on accompagne la croissance démographique de la cité à travers l’édification de ses quartiers, de ses infrastructures et de ses grands équipements.

Jean-François Vivier raconte un siècle d’histoire de Chartres en bande dessinée… grâce à une journaliste de L’Écho Républicain

Le marché aux légumes, place Billard

La place Billard présente une architecture type « Baltard » du début du XXe siècle et abrite le marché couvert. Cette place est aujourd’hui un lieu de rencontre, de détente et de flânerie accueillant le marché de la ville.

La Butte des Charbonniers

La Butte des Charbonniers s’étend de la place Châtelet à la place Drouaise. Elle longe l’ancienne enceinte fortifiée. Au cours des siècles derniers, elle attirait toute la population chartraine les jours de fête autour du kiosque à musique.

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Le monument élevé à la mémoire des Chartrains morts pour la France de 1914 à 1918 a été inauguré le dimanche 16 septembre 1923.

L’Écho Républicain consacre un dossier à la BD “Chartres, une ville à travers une vie” et vous offre les deux premières planches

La place des Épars

L’ancien Hôtel des Postes de Chartres

L’ancien Hôtel des Postes de Chartres, situé à l’angle du boulevard Maurice-Viollette et de la rue du Général-Koenig, a été construit par Raoul Brandon de 1923 à 1928. Restauré, l’édifice, de style néo-gothique et labellisé en juin 2016 “Patrimoine du XXe siècle”, abrite aujourd’hui la médiathèque L’Apostrophe. Le monument est reconnu depuis de nombreuses années comme la pièce maîtresse de l’architecture urbaine chartraine.

La gare de Chartres
La rue des Changes

L’hôtel de Ligneris, résidence officielle du préfet

L’Hôtel de Ligneris, hôtel préfectoral, est l’un des deux sites chartrains de la préfecture d’Eure-et-Loir. Il abrite aujourd’hui certains bureaux de la préfecture, dont celui du préfet, qui fut aussi celui de Jean Moulin, illustre préfet du département de février 1939 à novembre 1940.

La Feldkommandantur, boulevard Chasles

La Feldkommandantur s’installe boulevard Chasles dans l’immeuble de la compagnie d’assurance des travailleurs français.

Le pont de la place Morard

Le théâtre de Chartres

L’Hôtel de ville, place des Halles

La cathédrale de Chartres depuis la place Châtelet

Première cathédrale de France inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco en 1979, Notre-Dame de Chartres a été construite en moins de trente ans. Une performance à une époque où les cathédrales mobilisent des générations de bâtisseurs.

Visible à des kilomètres à la ronde, elle se dresse ainsi depuis plus de huit siècles au-dessus de la Beauce où elle a su résister aux attaques du temps, échapper en partie à un incendie et inspirer les plus grands hommes politiques, artistes et écrivains.

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Connaissez-vous ces quatre secrets sur la cathédrale de Chartres ?

Ci-dessous : la cathédrale de Chartres, un moulin typique de la Beauce, la collégiale Saint-André, l’église Saint-Aignan, les ruines de la porte Guillaume, bombardée pendant la guerre.

Le Grand Monarque

Le monument aux morts de Jean-Moulin

Ce monument a été érigé en 1948 à la mémoire de “Jean Moulin, organisateur de la Résistance, héros et martyr et à tous ceux qui le suivirent”. Jean Moulin était préfet d’Eure-et-Loir de 1939 à 1940. Le glaive brisé est une sculpture de granite rose.

La librairie Legué

Dans la BD de Chartres, la librairie Legué dont Jean Legué (décédé en 2016, ndlr) en est le créateur, porte le nom de “Au livre d’or”. Aujourd’hui, la librairie est connue sous le nom de L’Esperluète, rue Noël-Ballay, à Chartres. C’est Olivier L’Hostis, qui a racheté l’ancienne librairie Legué, le 1er août 2008. Et lui a redonné un second souffle, notamment en effectuant récemment des travaux de rénovation des locaux historiques, qui datent du début du XVIe siècle.

prime Trois questions sur les travaux à l’Esperluète, la librairie de Chartres

Le Centre international du vitrail de Chartres

Le Centre international du vitrail est un établissement culturel à Chartres créé sur l’initiative de Pierre Firmin-Didot et inauguré en 1980 en présence de Valéry Giscard d’Estaing. Le musée du vitrail, installé dans le grenier de Loëns, classé monument historique, à 100 mètres de la cathédrale de Chartres, présente une collection permanente de 70 vitraux authentiques de la Renaissance, la plus importante de France.

Le cinéma Les Enfants du Paradis

Avant d’être le multiplexe actuel, cet édifice a eu plusieurs vies. Tout d’abord, il fut un garage puis, par la suite, il deviendra le cinéma Les Enfants du Paradis. C’est en 2004 que la Ville de Chartres rachète le bâtiment pour en faire le complexe cinématographique que l’on connaît aujourd’hui : 5 000 m² comportant 11 salles.

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La Fête des lumières

Le lycée Marceau

L’église Saint-Pierre

L’hôpital Louis-Pasteur, au Coudray

L’hôtel-Dieu
La maison Picassiette

Dans la BD, l’héroïne Jeanne parcourt la ville de Chartres et s’arrête visiter la maison Picassiette. C’est dans le quartier chartrain de Saint-Chéron que Raymond Isidore s’installe dans cette petite maison. Lors de ses promenades, il prend l’habitude de ramasser des morceaux de verre et de faïence qu’il transforme en mosaïques pour embellir sa maison. Petit à petit, il en recouvre les murs, intérieurs et extérieurs, ainsi que les meubles et les sols.

L’hippodrome de Chartres

Quartier de La Madeleine

L’industrie pharmaceutique Novo Nordisk

Le complexe aquatique L’Odyssée

Paul Guillon, fondateur et âme de L’Écho Républicain

Les figures historiques :

– Paul Guillon (1888-1943) : patron et principal rédacteur du journal
L’Écho Républicain de la Beauce et du Perche créé
à La Loupe le 30 mars 1929.


Créé sous la direction d’Adrien Bertholon,
L’Écho Républicain est diffusé dans le département de l’Eure-et-Loir et dans le sud-Yvelines. Aujourd’hui, le siège social de la société est basé à Chartres, et le journal dispose de trois autres agences (Dreux, Nogent-le-Rotrou et Châteaudun)
.


– Jean Moulin, (1899-1943), résistant français et préfet d’Eure-et-Loir, est proche du Général de Gaulle.
Simone Touseau, la tondue de Chartres, le 16 août 1944 pour “collaboration horizontale”, immortalisée par le photographe Robert Capa qui croise sa route en sortant de la préfecture, le crâne rasé.
– André Gagnon, résistant, membre du Comité départemental de Libération d’Eure-et-Loir, maire de Chartres de 1945 à 1947.

– Le général Charles De Gaulle à la libération de Chartres.

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