Les enfants en Afrique du Sud sont les plus susceptibles d’être victimes d’exploitation sexuelle en ligne sur Facebook et WhatsApp.
Les enfants sud-africains sont les plus susceptibles d’être victimes d’exploitation et d’abus sexuels en ligne sur deux plateformes de médias sociaux – Facebook et WhatsApp, selon un rapport.
Le rapport Disrupting Harm in South Africa, qui détaille les preuves d’abus d’enfants en ligne sur la base de données autodéclarées, a révélé que près de 60 % de tous les incidents d’exploitation et d’abus sexuels d’enfants en ligne se sont produits sur les réseaux sociaux. 17 % supplémentaires ont eu lieu par SMS ou messagerie instantanée.
L’exploitation et les abus sexuels d’enfants en ligne font référence à des situations impliquant les technologies numériques, Internet et de communication à un moment donné au cours de l’abus ou de l’exploitation.
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