Désireux d’informer davantage les femmes sur la corrélation entre les contraceptifs oraux (CO) et la dépression, des chercheurs suédois ont mené une étude observationnelle avec plus de 26 000 femmes.
“Les contraceptifs oraux, communément appelés ‘pilules’, contiennent des substances synthétiques qui imitent l’action des œstrogènes et de la progestérone. L’objectif est d’éviter une grossesse en empêchant les ovaires de libérer un ovule, ou en empêchant la fécondation et l’implantation d’un œuf” peut-on lire sur le site de l’Institut National du Cancer (français). Il existe deux types de pilules : les pilules œstroprogestatives (combinées) qui contiennent un œstrogène et un progestatif, et les pilules microprogestatives qui ne contiennent qu’un progestatif.
Bien que ces CO soient généralement les premiers contraceptifs mentionnés, leur popularité diminue en raison des risques qu’ils peuvent représenter pour la santé. Par exemple, l’Institut National du Cancer rapporte qu’une expertise menée par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) en 2005 et actualisée en 2012 indique que “les pilules combinées entraîneraient une légère augmentation du risque de cancers du sein, du col de l’utérus et du foie. Les pilules microprogestatives peuvent également augmenter le risque de cancer du sein et de l’utérus.”
En outre, la fameuse pilule est connue pour ses effets secondaires tels que les sautes d’humeur, les douleurs thoraciques, les maux de tête, les maux d’estomac et la dépression. Les chercheurs suédois se sont précisément penchés sur la corrélation entre la prise de la pilule contraceptive et la dépression. Pour réaliser leur étude, ils ont suivi plus de 260 000 femmes de la UK Biobank, de la naissance à la ménopause.
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