Nouvelles Du Monde

« Les confessions explosives de Thierry Ardisson sur ses années de drogues »

« Les confessions explosives de Thierry Ardisson sur ses années de drogues »

Personnage à part dans le monde de la télévision, Thierry Ardisson a toujours été un excessif. Et s’il a levé le pied sur ses abus passés, « l’homme en noir » s’est récemment ouvert sur toutes les substances illicites qu’il a pu consommer par le passé. Et autant dire que l’ancien animateur phare de Canal+ n’a pas donné sa part au chien…

Il a présenté « Tout le monde en parle », « Salut les Terriens » ou encore « Paris Dernière », mais à en croire ses dernières révélations, c’est plutôt à la tête de l’émission « On a tout essayé » qu’on aurait dû retrouver Thierry Ardisson. Car si les drogues et substances illicites en tous genres circulent notoirement dans le showbiz et le PAF, le natif de Bourganeuf a bel et bien été l’un des plus aventureux.

Se revendiquant d’une génération libertaire et portée sur l’expérimentation, dans un contexte de libération de la jeunesse, Ardisson n’a pas été avare en expérimentations durant les années 1970. Et s’il n’avait jamais fait mystère de sa consommation de drogue et de son ouverture d’esprit sur ce sujet, il a profité de son passage chez LÉGENDE pour se confier comme jamais.

Lire aussi  La société Cristina-Massa tend les relations avec le FMI et le cercle rouge

Thierry Ardisson honnête sur les nombreuses drogues qu’il a testées

Répondant avec sincérité aux questions de Guillaume Pley, Ardisson a confessé avoir consommé des poppers, du cannabis, des champignons hallucinogènes, de l’ecstasy, de la cocaïne et de l’héroïne. À chaque fois, il a vécu des expériences et donné des conseils bien différents :

Quand j’étais à Bali en 1974, on avait une maison au bord de la plage. On prenait la moto, on allait jusqu’à la ville et on prenait des champignons hallucinogènes. Je ne conseille pas d’en prendre, mais c’est vrai que ça ouvre l’esprit.

L’ecstasy ? C’est pas mal. La cocaïne, c’est pas trop mon truc. Parce que ça m’énerve, puis il faut en prendre tout le temps, et après tu finis mal à la fin.

Mais finalement, c’est bel et bien l’héroïne destructrice qui restera la pire expérience vécue par Ardisson :

J’ai été accro à l’héroïne pendant 3 ans. J’ai pensé que c’était la solution, car tu n’as plus envie de manger, de faire l’amour, de travailler. C’est un nirvana en poudre. Sauf qu’avec le temps, tu réalises que tu es accro à un médicament. J’ai fui aux États-Unis pour éviter de mourir d’une overdose ou du sida.

C’est ce que j’ai vécu de plus dur dans ma vie, je voulais me jeter par la fenêtre de mon hôtel, je n’étais pas bien du tout. C’était avant la télévision, en 1975 ou 1976. J’ai passé plus de 3 mois là-bas à essayer de me reconstruire.

Thierry Ardisson peut s’estimer heureux, lui qui, du haut de ses 74 ans, n’a pas de séquelles majeures de ses années d’abus. D’ailleurs, « l’homme en noir » admet volontiers que parmi toutes les drogues mentionnées, il ne consomme plus que du cannabis aujourd’hui. Un moindre mal, même si, rappelons-le, toutes les drogues sont évidemment déconseillées et nocives pour la santé.

Lire aussi  Roman Reigns commente les rapports de vente de la WWE, Heyman fait référence en plaisantant à CM Punk AEW All Out Rant

dans un article qui peut se classer haut dans Google
#conseille #pas #mais..
publish_date]

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

ADVERTISEMENT