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Le navire de forage basé à Londres Energean commence le forage du champ de gaz naturel de Karish au large des côtes d’Israël dans l’est de la Méditerranée, le 9 mai 2022. Photo/REUTERS/Ari Rabinovitch
Auparavant, le Hezbollah avait menacé de “couper” la main d’Israël s’il siphonnait les champs offshore contestés.
L’avertissement du ministre israélien de la Défense, Benny Gantz, intervient au milieu de longues négociations entre les voisins de la Méditerranée orientale pour résoudre leur différend frontalier maritime.
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Les tensions ont augmenté en juin lorsqu’un navire de production affrété par Israël est arrivé près du champ gazier de Karish au large de la côte, qui, selon le Liban, se trouve dans les eaux contestées.
Israël a déclaré le 2 juillet qu’il avait abattu trois drones lancés par le Hezbollah sur Karish.
Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a déclaré le 9 août que “la main qui a saisi cette richesse sera coupée”.
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Lorsqu’on lui a demandé si une attaque du Hezbollah contre les gisements de gaz israéliens pouvait conduire à la guerre, Gantz a répondu : “Oui, cela pourrait déclencher une réaction”.
« Menant à plusieurs jours de combats et de campagnes militaires. Nous sommes forts et prêts pour ce scénario, mais nous ne le voulons pas”, a-t-il déclaré à la station de radio israélienne 103 FM.