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Le Tribunal National décide de suspendre le procès de la CDR en raison de la loi d’amnistie

Le Tribunal National décide de suspendre le procès de la CDR en raison de la loi d’amnistie

2024-03-31 12:24:46

Demain le douze accusés des Comités de défense de la République (CDR) Ils auront une date clé au tribunal. Le Tribunal national tiendra ce lundi une audience au cours de laquelle il analysera si suspendre le procès pour terrorisme, comme le prétendent les avocats de la défense, sous divers arguments. L’un d’eux est que La future loi d’amnistie leur sera applicablequi est encore en phase de traitement parlementaire, plus précisément au Sénat.

Les représentants des accusés ont présenté une série de articles de déclaration préalable sur lequel le tribunal devra se prononcer. Et ce sera pertinent, notamment en ce qui concerne la suspension basée sur une règle, la loi d’amnistiequi n’a pas encore été approuvé ni entré en vigueur.

Les douze accusés sont accusés d’avoir participé à une faction radicalisée de la CDR qui serait accusé d’avoir organisé des sabotages ou des actions violentes contre le siège officiel en Catalogne en 2019 pour protester contre l’arrêt du « processus ». Le Bureau du Procureur les accuse de crimes tels que l’appartenance à une organisation terroriste ; possession, stockage et fabrication de substances ou d’engins explosifs ; ou tentatives d’attentats terroristes.

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Contrairement au cas Tsunami démocratiquequi enquête sur Carles Puigdemont, Marta Rovira et Rubén Wagnesberg, entre autres, où il ne voit que des troubles publics, Le ministère public a constaté dès le premier instant des signes de terrorisme dans la CDR et a requis entre 8 et 27 ans de prison pour les années accusées au total.

Le ministère public attribue les trois délits à Eduardo Garzón, Esther García Canet, Sonia Pascual, Queralt Casoliva, Germinal Tomas, Alexis Codina, Jordi Ros et Rafael Joaquín – demandant pour chacun d’eux une peine de 27 ans de prison, plus huit ans de liberté surveillée une fois qu’ils auront purgé leur peine -, tandis que Ferrán Jolis, Xavier Buigas, David Budria et Clara Borrero ne sont accusés que du délit d’appartenance à une organisation terroriste, pour lequel ils demandent huit ans de prison dans chaque cas.

Le procureur demande également qu’ils soient imposés sanctions de disqualification absolue et de disqualification spéciale pour l’exercice d’une profession ou d’un métier éducatif dans les domaines de l’enseignement, du sport et des loisirs pour une durée de dix ans supérieure à la durée de la peine. La future loi d’amnistie que le PSOE, Junts et ERC aient convenu de donner le feu vert à l’investiture de Pedro Sánchez s’appliquerait aux deux procédures.

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Même si Le procès CDR n’est toujours pas datéles défenses ont profité du traitement parlementaire de cette mesure de grâce pour demander sa suspension, car elles estiment que Les accusés dans cette affaire seront amnistiables et pourront bénéficier de la future loi. Ils dénoncent également l’incompétence du Tribunal national et accusent le juge d’instruction, Manuel García-Castellón, d'”arbitraire”.



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