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Le Standard renverse Anderlecht dans un Clasico au scénario surréaliste

Le Standard renverse Anderlecht dans un Clasico au scénario surréaliste

Le week-end de la Pro League a été marqué par un Clasico au scénario surréaliste qui s’est conclu par la victoire du Standard face à Anderlecht après avoir été mené 0-2. Sur le plateau de La Tribune, nos consultants ont évoqué le déroulement de la rencontre.

Le principal tournant a évidemment été le troisième but d’Anderlecht qui a été annulé par le VAR. Marc Wilmots a expliqué que le Standard était en grande difficulté à ce moment-là : “Le Standard vacillait très fort, il y avait des trous partout et ils n’arrivaient pas à avoir la possession. Ils sentaient aussi qu’ils pouvaient prendre une casquette. Le Standard était très mal collectivement. Quand le troisième but d’Anderlecht est annulé, les joueurs se disent qu’ils sont toujours en vie.” “Sclessin était déjà en feu. C’était l’étincelle qui a fait vaciller la maison anderlechtoise”, a ajouté Cécile De Gernier.

Selon Philippe Albert, les Mauves étaient alors trop confiants. “Quelques jours avant le match, Riemer avait dit qu’il voulait un Anderlecht spectaculaire. Peut-être que, dans son esprit, il s’est dit qu’ils marqueraient le coup et que rien ne pouvait leur arriver. C’est la pire chose qui peut arriver à Sclessin. Quand le jeu reprend, les joueurs le sentent. Les leaders mauves auraient dû mettre le pied sur le ballon pour montrer qu’ils étaient présents, ils se sont fait bouffer.”

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En seconde mi-temps, les Bruxellois ont craqué alors qu’ils avaient le match en main et auraient pu changer certaines choses pour éviter cela. “À la mi-temps, Riemer aurait dû resserrer les lignes, demander à Dreyer et Danger d’être moins haut, jouer en 5-4-1 et laisser venir le Standard jusqu’aux 30 mètres,” expliquait Philippe. “Il savait que le stade allait prendre feu. Évidemment, son équipe menait 0-2 à la pause et tout allait bien.”

Au vu de la situation, le coach danois a décidé d’organiser un entraînement ce lundi alors qu’un jour de congé était prévu à la base. Un changement d’avis qui n’est pas approuvé sur le plateau. “Tout le monde dit qu’ils n’ont pas fait un mauvais match,” expliquait Cécile. “Tu ne perds pas un match depuis fin juillet. Tu ne perds que parce que c’est à Sclessin, les joueurs doivent devenir dingues.”

Philippe était du même avis. “Ce n’est jamais bon. Il a peut-être envie de changer son image qui est celle d’un coach très sympa, correct et proche de ses joueurs. Il a peut-être senti qu’il fallait marquer le coup.”
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