Depuis plusieurs années, le monde est confronté à des crises et des violences incessantes, telles que les combats au Soudan, la guerre en Ukraine et les tensions au Proche-Orient. Dans ce contexte, quelle est la capacité d’action du Conseil de sécurité des Nations unies pour empêcher ces conflits ? La diplomate Pascale Baeriswyl, d’origine fribourgeoise et bâloise d’adoption, admet que le Conseil ne peut pas à lui seul mettre fin aux violences, mais qu’il reste un acteur majeur sur la scène mondiale. Elle cite notamment les résolutions votées pour l’ouverture de passages humanitaires en Syrie ou encore les missions de paix au Soudan du Sud et en Colombie. Pour la Suisse, une place au Conseil de sécurité permettrait de défendre ses intérêts et de protéger ses principes, tels que le droit international humanitaire et l’État de droit. En ce qui concerne la neutralité, Pascale Baeriswyl juge que celle-ci est souvent intégrée dans les positions de droit international public et n’est pas au centre des débats lors des sessions du Conseil. Enfin, bien que la situation en Ukraine soit considérée comme la violation la plus massive de la charte de l’ONU, la Suisse ne considère pas sa neutralité comme une question centrale dans ce dossier.
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