Le 14 décembre dernier, Bastien Vivès, auteur de bandes dessinées jusque-là fêté par le public et les médias, multiprimé et adapté au cinéma (notamment Polinaavec Juliette Binoche), voyait son exposition, prévue un mois plus tard au Festival d’Angoulême, annulée par le festival sans que personne ne l’ait encore vue. La raison ? Une pétition en ligne lancée par une association de protection de l’enfance accusant l’auteur de « banalisation et d’apologie de l’inceste et de la pédocriminalité ». En cause : trois albums pour adultes, dont Petit Paul (Glénat), sorti cinq ans plus tôt avec un av…
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