Au cours de ces dernières années, le kebab a su conquérir le cœur et les papilles gustatives des consommateurs français avec un succès fulgurant. Toutefois, malgré son prix abordable, le sandwich turc subit actuellement les effets d’une crise du pouvoir d’achat qui force les restaurateurs à revoir leur stratégie. Ainsi, le kebab se doit de se réinventer pour répondre aux besoins d’une clientèle qui devient de plus en plus exigeante sur la qualité des produits proposés. Dans cet article, nous allons explorer les différentes évolutions auxquelles doit se soumettre le kebab pour maintenir sa position sur le marché de la restauration rapide.
Le kebab, autrefois connu pour sa qualité-prix imbattable, peine à s’adapter à la hausse des exigences des consommateurs et à l’augmentation des prix des matières premières et de l’énergie. En cinq ans, le prix moyen du kebab en France, boisson comprise, est passé de 5 à 7 euros. Pourtant, il reste difficile pour les chefs de toucher au prix du kebab solo, malgré la compréhension de la nécessité pour la rentabilité. Le prix est à la fois l’argument numéro un et le grand tabou du milieu, les clients ne pardonnant pas la hausse des prix, même si la qualité est meilleure. Les kebabs qui dégueulent leurs frites dans des cartons orange flashy sont en voie de disparition et le produit cherche à devenir “premium”. Le marché du kebab reste important, avec 360 millions de ventes en moyenne chaque année en France, mais le produit tente de faire sa mue et de trouver ses lettres de noblesse loin de ses madeleines de Proust, jusqu’à la fin d’une époque.
České Budějovice s’est défendu des critiques de l’adjoint de Kladrubský. Le Dynamo envisage de le libérer
Dans une déclaration sur le site Internet, le club de České Budějovice s’est opposé aux propos de