Derrière les Yverdonnois, on trouve des clubs historiquement puissants comme Bâle et Grasshopper, mais aussi les cousins du bord du Léman, Lausanne-Sport et Stade-Lausanne-Ouchy. Bref: ils semblent prolonger l’épopée qui leur a permis de devenir champions de Challenge League à la surprise générale au printemps dernier, sous la conduite du charismatique Marco Schällibaum. C’est peu dire que dans le Nord vaudois, les supporters d’YS ne comprennent pas sa mise à la porte.
Celle-ci «n’est ni la conséquence de résultats sportifs – excellents tant l’année dernière en Challenge League que depuis cet été en Super League – ni liée aux valeurs humaines que porte le coach, écrit le club dans un communiqué de presse publié lundi après-midi. Ce changement s’inscrit dans un processus de développement du club sur le long terme et plus spécifiquement dans une nouvelle philosophie que les nouveaux propriétaires souhaitent apporter à Yverdon Sport et à sa première équipe.»
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