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Le Cycle de Vie : George Hincapie parle de Paris-Roubaix

Le Cycle de Vie : George Hincapie parle de Paris-Roubaix

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©BMC/Tim Wiley.

Ce dimanche, Équipe de course BMCGeorge Hincapie de s’alignera pour son 16e Paris-Roubaix comme le principal concurrent américain. A 37 ans, il tente depuis longtemps de remporter ce monument du cyclisme et d’en venir à bout (sept fois dans le top dix, dont 2e en 2005 et 4e en 1999 et 2001). Lors du Tour des Flandres la semaine dernière, BMC a prouvé qu’il pouvait le soutenir : l’équipe presque seule ramené la dangereuse échappée Le duo composé de Fabian Cancellara et Sylvain Chavanel, ainsi que Hincapie et son coéquipier Alessandro Ballan, ont atteint la ligne d’arrivée dans le premier groupe de 12, terminant respectivement 6e et 12e.

Mais Paris-Roubaix, ou L’Enfer du Nord comme on l’appelle, n’est pas une course qui se gagne uniquement sur la forme. Avec 160 milles, ce n’est pas la course la plus longue de l’année, mais les longs passages de pavés brutaux (il y a 32 milles de pavé répartis sur 27 segments) font de l’entrée de chaque section une course d’accélération pour le positionnement qui peut entraîner des écarts de temps et des chutes. Parce que les pavés sont si durs pour les coureurs et l’équipement, ils ajoutent une couche de volatilité inégalée pendant la saison des courses. Exemple concret, en 2006 Hincapie s’est écrasé d’un groupe d’élite en tête de la course à seulement 30 milles de l’arrivée lorsque son tube de direction s’est cassé sur un passage accidenté. Souvent, la pluie, la neige et le temps glacial rendent la course encore plus difficile. Et si Hincapie espère gagner, il devra vaincre un peloton solide, y compris le favori Cancellara, le doublé de Chavanel et Tom Boonen de Quickstep, un Juan Antonio Flecha décousu et bien d’autres.

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Quelques jours avant la course, j’ai rencontré Hincapie pour savoir ce qu’il pensait de ses perspectives pour l’édition 2011 de Paris-Roubaix.

–Aaron Gulley
www.aarongulley.com

À L’EXTÉRIEUR : Vous recherchez la victoire à Roubaix depuis des années. Est-ce l’année ?

HINCAP : [Laughs] J’ai, euhhhh, arrêté de faire des prédictions.

Quand la course est-elle devenue l’un de vos objectifs premiers ?

Je savais depuis le début [of my career] que j’étais bon dans ce genre de courses. J’ai eu de bons résultats au début, en faisant des échappées, en faisant partie des premiers groupes, et c’était à l’époque où j’étais encore un assez jeune pilote.

Comment une course aussi difficile est-elle devenue l’une de vos favorites ?

Le histoire de la course m’attire beaucoup. Le fait que ce soit si difficile pour votre corps et qu’il y ait tant de variables qui peuvent se produire tout au long de la journée en fait, à mon avis, l’une des courses les plus excitantes que nous organisons toute l’année.

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Cette course est-elle devenue plus difficile pour vous avec l’âge ? Est-ce que ça fait plus mal ?

Non, cela dépend juste de ma forme physique. Lorsque je suis en forme et en bonne santé, je pense que d’une certaine manière, mon expérience m’aide beaucoup, car je suis capable d’économiser de l’énergie là où je l’aurais probablement dépensée plus tôt dans ma carrière. C’est simple : si vous passez une mauvaise journée dans cette course, c’est horrible, vous en souffrez et vous faites ce que vous pouvez. Mais je ne crois pas que l’âge soit un facteur. Même s’il me faudra peut-être encore quelques jours pour m’en remettre après la course.

Avez-vous des passages préférés ? Y a-t-il des sections que vous redoutez ?

Chaque section est assez brutale et terrible. La forêt d’Arenberg est dure, et ce n’est même pas la plus dure [editor: this often-decisive 1.5-mile stretch comes 107 miles into the race]. À partir de l’Arenberg, cela devient vraiment difficile.

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Avec votre coéquipier Allessandro Ballan, lui aussi en forme, cela complique-t-il vos aspirations ?

Non, ça augmente encore mes chances. Plus l’équipe a de chiffres [at the front of the race], plus j’ai de chance de gagner. Allessandro et moi avons une très bonne entente. On sait bien communiquer en fin de course. Si je me sens vraiment bien, je lui dirai et il fera la même chose pour moi.

Que signifierait pour vous gagner Paris-Roubaix ?

Ce serait un rêve devenu réalité. Je pourrais laisser mes chaussures sur la piste et m’en aller.

2011-04-08 10:00:00
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