2024-01-21 03:17:46
- Seize ans après le début des négociations sur l’accord de libre-échange entre les États de l’AELE et l’Inde, les principes fondamentaux ont été atteints.
- Le ministre de l’Economie Guy Parmelin l’a annoncé samedi soir sur la plateforme en ligne X, anciennement Twitter.
- Le ministre de l’Économie n’a pas précisé sur quoi les États s’étaient spécifiquement mis d’accord.
Parmelin dirige la délégation de l’Association européenne de libre-échange (AELE). Outre la Suisse, elle comprend l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège. Parmelin a également déclaré qu’il s’était rendu à Mumbai, en Inde, à l’invitation à court terme de son homologue Piyush Goyal.
Afin que l’accord puisse être signé dans les plus brefs délais, “nos équipes travaillent dur pour clarifier les derniers détails en suspens”, a poursuivi Parmelin. Parmelin a rencontré le ministre indien du Commerce Goyal en mai dernier. À l’époque, il avait été dit que la réunion constituait une étape positive pour faire avancer les négociations sur un accord de libre-échange. Les États de l’AELE et l’Inde négocient un accord depuis 2008.
Un accord avec l’Inde devrait créer des emplois pour la jeune population indienne et garantir la place de travail en Suisse, a déclaré Parmelin dans une interview au «SonntagsZeitung». Pour les entreprises suisses, un accès au marché aussi universel que possible est essentiel.
Un accord de libre-échange facilite également un meilleur accès aux technologies respectueuses de l’environnement et favorise les investissements. “Les pauvres de l’Inde en bénéficieront également”, a répondu Parmelin aux objections du journal émanant d’organisations de développement selon lesquelles l’Inde était un pays très pauvre malgré des taux de croissance élevés.
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