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L’Atlético de Madrid gagne contre Séville en hommage à Simeone | Des sports

L’Atlético de Madrid gagne contre Séville en hommage à Simeone |  Des sports

Le soir où Simeone est devenu l’entraîneur de l’Atlético avec le plus de matchs dirigés, 613, dépassant le mythe Luis Aragonés, ses footballeurs se sont régalés face à un Séville qui a peu attaqué et défendu moins bien. Six buts pour rendre hommage à la marque historique de leur entraîneur. Notamment Memphis, dans lequel il s’agissait de son premier titre depuis qu’il a été recruté sur le marché d’hiver.

En moins d’une demi-heure, l’Atlético a commencé à achever ce Séville mourant, sans âme dans la grotte, avec un seul défenseur central naturel disponible, Nianzou. Du beurre pour un Atlético qui est sorti autoritaire et ambitieux. Il n’a pas fallu longtemps aux footballeurs de Simeone pour exploiter la faiblesse de leur rival en cherchant l’arrière de sa colonne vertébrale défensive rapiécée. C’est Lemar avec un long ballon qui a d’abord mis Memphis face à Bono. Le contrôle a échoué au Néerlandais, alors que le plus simple était d’avoir exécuté le gardien marocain en fuite. Le Français a commencé comme agitateur, comme Carrasco. Les deux sont parmi les joueurs avec la plus grande capacité de déséquilibre que possède Simeone. Les deux errent dans l’ombre de l’irrégularité et ne sont pas aussi définitifs que prévu d’eux. Hier soir, au moins, ils avaient du poids dans le match. L’un de ces pas et surplombs sur le côté de la surface a fini par tomber sur Llorente, encore une fois ailier en raison de l’absence de Nahuel Molina suspendu et parce que Simeone ne fait pas confiance à l’Irlandais Doherty, une signature fantôme jusqu’à ce que le passage à tabac lui permette de débuts ce samedi lors de la dernière manche du match. La main droite de Llorente s’est écrasée dans la base du poteau. Deuxième avis du sac que l’équipe de Sampaoli s’apprêtait à recevoir.

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À peine une course puissante d’En-Nesyri a laissé la preuve que Séville aspirait à lier un jeu en attaque avec le chiens pieds nus défensif qu’il a affiché. Ce n’est pas un hasard si les deux bosses de Memphis qui ont ouvert le match sont passées par le milieu et après deux interceptions de balle de l’Atlético. Dans le premier, Griezmann a vu Memphis traverser le centre de Nianzou et Gudelj. La passe, la huitième passe décisive du Français, a planté son partenaire convoité contre Bono. Le ballon traversait les jambes du Marocain avec la même facilité avec laquelle Memphis avait glissé dans le couloir central entre les deux défenseurs centraux de Séville. Griezmann a été décisif dans la signature de son ancien coéquipier à Barcelone. Il voulait monter un partenariat avec lui à l’Atlético et Simeone a donné le feu vert à l’opération. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’il ne les réunisse depuis le début. Si le premier but était un hymne à la fragilité défensive de Séville, le second ne l’était pas moins. Un retrait de Griezmann, un drive de Llorente et son transfert à Memphis en bordure de surface. Jusqu’à deux touches, il pouvait frapper la demi-lune pour se préparer au coup de pied dont Bono ne pouvait entendre que le bourdonnement.

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Il y a eu le duel pour un festival rojiblanco en raison de la force montrée et parce que les footballeurs de Séville semblaient correspondre à la perplexité que Sampaoli a montrée dans ses promenades le long du groupe. Seule une mauvaise mesure de Giménez face à Gueye dans un ballon perdu par la ligne du bas a fait revivre le match. L’erreur du défenseur central uruguayen a été mise à profit par les Sénégalais pour, d’une légère touche, inciter En-Nesyri à n’avoir qu’à pousser le ballon devant la barbe d’Oblak. Le match était plus pour le troisième but de l’Atlético que pour qu’il se resserre sur le chemin de la mi-temps.

Il n’a pas fallu longtemps pour se développer après le redémarrage. C’était Griezmann dans une autre séquence d’enlèvement et de coup. Un autre exemple du laxisme défensif de Séville. Sans personne pour l’accompagner, le Français a pu préparer un tir du pied gauche à 25 mètres qui s’est envolé vers le coin droit de Bono. Au groupe qui est allé célébrer le but avec Simeone, l’entraîneur qui l’a façonné dans son excellent travail.

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Savic, comme Giménez, a su remettre Séville dans le match en passant le ballon à Ocampos à l’entrée de la surface. Suso a envoyé le ballon dans les limbes avec Oblak vaincu. Puis la bacchanale rojiblanca a continué. Carrasco au deuxième poteau, a décroché une belle touche de Pablo Barrios sans marque après la course de Llorente. Rakitic a gâché un penalty forcé dans un autre acte de foi de Gueye sur un ballon qui, comme le but d’En-Nesyri, a dépassé la ligne de fond. Morata a clôturé le compte avec deux buts lors des deux dernières concessions défensives de Séville. Et au passage, il a présenté ses lettres de créance au couple Griezmann-Memphis.

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