Des images et des vidéos de ce qui s’est passé ensuite ont été diffusées en ligne dans les jours qui ont suivi.
Ce que l’on peut voir a fait réagir les organisations de défense des droits de l’homme du monde entier avec dégoût.
Dans une vidéo filmée par l’organisation de défense des droits de l’homme AMDH (Association marocaine des droits de l’homme), on peut voir des migrants ensanglantés être battus par des policiers à coups de matraque et gisant sans vie sur le sol.
Selon les autorités espagnoles, environ 2 000 migrants ont tenté de prendre d’assaut la clôture entre le Maroc et
Une enclave est une partie d’un État qui est séparée du reste de l’État et entourée d’un territoire étranger.
“data-term =” Enclave espagnole Melilla “> Enclave espagnole Melilla. Il écrit Le gardien.
Je ne sais pas combien sont morts
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a écrit sur son compte Twitter qu’il était choqué par ce qui s’était passé.
– Je suis choqué par le degré de violence manifesté à la frontière vendredi dernier, qui s’est soldé par la mort de dizaines de migrants et de demandeurs d’asile. L’usage d’une violence excessive est inacceptable. Les droits et la dignité des personnes en fuite doivent être une priorité.
Combien ont été réellement blessés ou tués après l’incident est incertain. Différents acteurs véhiculent des chiffres différents.
Amnesty écrit ses pages qu’il est «au moins 23». Les autorités marocaines l’ont également dit vendredi dernier. L’AMDH fait état de 37 morts.
Signes d’Amnesty International leurs pages que les images divulguées de Melilla sont choquantes.
Des tas de personnes, vivantes et mortes, gisent sur le sol, tandis que la police marocaine erre autour d’eux, écrivent-ils.
Amnesty déclare exiger une enquête indépendante et approfondie. Cela s’applique à cet incident, mais aussi aux incidents précédents à la même frontière.
Lance une enquête
Le samedi suivant, le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, a décrit l’incident comme “une atteinte à l’intégrité territoriale de l’Espagne”, écrit Le gardien.
Mardi dernier, on a appris que les procureurs espagnols avaient ouvert une enquête sur les décès.
L’AMDH accuse également les autorités marocaines de tenter de dissimuler les morts.
Ils ont écrit sur Twitter six jours après l’incident qu’aucun des morts n’avait été autopsié.
Rétrospectivement, il y a eu de grandes protestations en Espagne et au Maroc contre ce qui s’est passé.
La Commission espagnole pour les réfugiés a déclaré que la plupart de ceux qui ont tenté de traverser la frontière avaient fui le conflit au Soudan.