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la voie du divorce consensuel est tentée – Corriere.it

la voie du divorce consensuel est tentée – Corriere.it

2024-01-11 23:08:41

Ancien Ilva, le gouvernement Mittal est de sortie : la voie du divorce consensuel est tentée
Des représentants des anciens affiliés d’Ilva manifestent à Rome

Au Sénat, dans ses informations, le mot administration extraordinaire le ministre du Commerce et du Made in Italy, Adolfo Urso, il ne l’a jamais dit. Car, évidemment, la solution de dernier recours pour leex-Ilva le gouvernement ne veut y arriver que s’il n’est pas possible de faire autrement. L’annonce de l’ultimatum ArcelorMittal il s’agissait, comme déjà rapporté ces derniers jours, d’un accord consensuel ou de commissaire. Et au moins jusqu’à mercredi prochain (quand on saura si les conditions d’un accord sont réunies : les syndicats ont été convoqués à nouveau par le gouvernement jeudi), le gouvernement veut poursuivre sur la première voie, comme il l’a annoncé aux syndicats dans la soirée à le sommet Palais Chigi.

Les engagements trahis de Mittal

Quoi qu’il en soit, Mittal est désormais exclu, comme l’a assuré aux syndicats le sous-secrétaire du Premier ministre Alfredo Mantovano. Par gré ou par escroc, le gouvernement veut évincer le partenaire privé Aciéries d’Italie. Et le chemin tracé est celui tracé par le contenu du discours d’Urso ce matin au Sénat. Sur leex-Ilva — ont été les paroles du ministre — il y a un besoin urgent d’une intervention drastique qui marque un tournant évident par rapport aux événements pas du tout passionnants des 10 dernières années. Ce sont des moments décisifs pour garantir, immédiatement, en l’absence d’engagement du partenaire privé, la continuité de la production et la sauvegarde de l’emploi dans le délai nécessaire pour trouver d’autres investisseurs industriels. Sur l’ex-Ilva, le gouvernement entend inverser la tendance en changeant l’équipage.

Ce qu’il faut savoir sur l’ancien Ilva

La voie du règlement négocié

Puis, le soir, à la réunion entre le gouvernement et les syndicats au Palais Chigi (les ministres sont également présents, avec Urso et Mantovano Raffaele Fitto, Maria Elvira Calderone e Giancarlo Giorgetti à ce propos, alors que sur le front syndical les représentants de la Fiom Cgil Michele De Palma, de la Fim-Cisl Roberto Benaglia, de l’Uilm-Uil Rocco Palombella, de l’Usb Sasha Colautti et des métallurgistes de l’Ugl Giovanni Antonio Spera), le gouvernement a dévoilé ses cartes : résoudre le bras de fer parmi les actionnaires d’Acciaierie d’Italia (Invitalia à 38%, prêt à monter à 66% mais avec un changement de gouvernance; et ArcelorMittal, à 62%, prêt à devenir minoritaire sans investir d’autres ressources mais pour gouvernance inchangé), avant l’administration extraordinaire, la voie du divorce consensuel sera tentée. La soi-disant alternative au commissaire qu’étudient les avocats d’Invitalia et d’ArcelorMittal règlement négocié prévu par nouveau code de crise des entreprises ce qui garantirait une procédure extrajudiciaire, pour éviter un long litige juridique.

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Palazzo Chigi : comparaison avec Arcelor, puis la voie future

Dans la note officielle du Palazzo Chigi parvenue après la réunion, le chemin est tracé de manière plus générique, sans entrer dans les détails : La délégation gouvernementale a informé les syndicats qu’elle travaillait dur pour définir la confrontation avec ArcelorMittal et s’employait à identifier la voie vers l’avenir de l’usine dans un cadre clair et défini qui a pour premier objectif continuité de la production de l’entreprise. Enfin, une fois la discussion avec ArcelorMittal terminée, une disponibilité maximale a été accordée pour entamer une discussion au ministère du Travail afin d’explorer tous les aspects liés à l’emploi et à la sécurité au travail.

La réaction des syndicats : ArcelorMittal enfin dehors

Les syndicats ont entendu des ministres ce qu’ils espéraient : Ce soir – a souligné le secrétaire général du Uilm, Rocco Palombella — nous avons obtenu un résultat : ArcelorMittal n’existera plus et il n’y aura pas de retour en arrière. Il reste maintenant une phase pour comprendre comment ce détachement va se produire. Nous le saurons la semaine prochaine. Nous voulons être témoins d’un divorce qui est la seule condition pour pouvoir continuer à investir, en considérant l’industrie sidérurgique comme une possibilité et non comme une chimère ou un danger. À partir de jeudi, le gouvernement nous dira quel est le plan alternatif. Nous sommes contre tout projet invasif qui ne protège pas les niveaux d’emploi de tous les travailleurs et le système commercial associé, déclare Palombella. Le secrétaire général de la société est également du même avis Fim, Roberto Benaglia. C’était une réunion importante. Le gouvernement nous a dit qu’il n’était pas possible de maintenir ArcelorMittal à la tête de l’Acciaierie d’Italia. L’exécutif nous a confirmé que des travaux sont actuellement en cours entre les techniciens d’Invitalia et Mittal sur trois axes : le divorce consensuel, la continuité des affaires et de la production, les ressources que le gouvernement est prêt à mettre même sans Mittal pour la relance de l’entreprise. Finalement, le gouvernement a décidé de ne pas revenir en arrière – a fait écho au secrétaire du Fiom-Cgil Michele De Palma — et s’engager sur la voie de la reprise de la direction de l’entreprise. C’est sur ce point que nous avons insisté avec les travailleurs pour sauvegarder l’avenir de l’emploi de l’entreprise et de l’environnement. Aujourd’hui, le gouvernement a également répondu à notre demande d’assurer la sécurité également du point de vue sanitaire. Mais maintenant un nouveau sujet s’ouvre, celui de la garantie de l’emploi futur de tous les travailleurs. Les travailleurs ne peuvent pas payer le prix des mauvais choix des dirigeants. Le gouvernement – ​​a ajouté le secrétaire national Ouvriers métallurgiques UGL, Antonio Sperá — il a raison de ne pas accepter les conditions fixées par la direction d’ArcelorMittal.

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Bonomi (Confindustria) : nationalisation seulement temporaire

L’administration extraordinaire est une solution que tout le monde voudrait éviter. Non seulement les syndicats mais aussi les entreprises liées, des petits entrepreneurs aux transporteurs qui se sont réunis hier Place Colonna, à deux pas du Palais Chigi, depuis l’après-midi pour dire non à la deuxième poubelle de l’État et non à 2015 bis comme l’affirment deux banderoles accrochées pour exprimer les craintes d’une nouvelle administration extraordinaire. En 2015, ils nous ont donné la première poubelle de 200 millions d’euros et nous craignons que la même situation ne se reproduise. Si cela se produit, cette fois nous échouerons tous, a expliqué le chauffeur du camion Vladimiro Pulpo au nom des manifestants. L’ex-Ilva emprunte donc des routes encore incertaines pour l’instant, vers une nouvelle nationalisation, comme lors de sa nouvelle publication en janvier 2015 avec l’admission à une administration extraordinaire basée sur la loi Marzano dans l’ère post-Riva. La nationalisation de l’ex-Ilva – les pensées du président de Confindustria Carlo Bonomi est intervenu à Rai Actualités 24 – cela a du sens si vous avez des propositions futures en tête. Je ne pense pas que ce soit la dernière route, si un pont a du sens. Le premier pont à franchir, pour l’instant, est celui du divorce consensuel dans moins d’une semaine.

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