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La venue d’une délégation iranienne en Belgique divise la classe politique

La venue d’une délégation iranienne en Belgique divise la classe politique

La ministre des Affaires étrangères s’est exprimée devant le Parlement lundi pour expliquer la venue d’une délégation iranienne en Belgique. Il y a un “changement de ton”. Cependant, elle n’a pas convaincu. Ni dans l’opposition, ni dans la majorité. Les socialistes et les écologistes restent indécis…


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Par David Coppi et Véronique Lamquin


Temps de lecture: 1 min

UN secours de la ministre libérale sur le gril depuis 17 heures au Parlement, aux côtés de Sophie Wilmès (de retour, elle met tout son poids dans la balance : lire ci-contre), Michel De Maegd, député MR, dira en séance deux heures plus tard : « Les faits à nos frontières, en Ukraine, en Russie, recommandent de s’élever au-dessus des querelles stériles, il est temps de clore le débat, et de travailler aux réformes indispensables »… Ah !, tourner la page ! Pas si vite. Si l’on peut dire. La crise dure depuis une quinzaine de jours, sans dénouement clair politiquement à ce stade, et ce n’est pas tout à fait fini, si l’on comprend bien. La Vivaldi est un chaudron, ça continue.

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Nabil Boukili, pour le PTB : « C’est un cirque politique, ça suffit, si madame la ministre a menti, elle doit démissionner, comme madame Schlitz, et passons à autre chose » Georges Dallemagne, au nom des Engagés, exaspéré : « Que la Vivaldi se décide ! »



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