Par David Coppi et Véronique Lamquin
Temps de lecture: 1 min
UN secours de la ministre libérale sur le gril depuis 17 heures au Parlement, aux côtés de Sophie Wilmès (de retour, elle met tout son poids dans la balance : lire ci-contre), Michel De Maegd, député MR, dira en séance deux heures plus tard : « Les faits à nos frontières, en Ukraine, en Russie, recommandent de s’élever au-dessus des querelles stériles, il est temps de clore le débat, et de travailler aux réformes indispensables »… Ah !, tourner la page ! Pas si vite. Si l’on peut dire. La crise dure depuis une quinzaine de jours, sans dénouement clair politiquement à ce stade, et ce n’est pas tout à fait fini, si l’on comprend bien. La Vivaldi est un chaudron, ça continue.
Nabil Boukili, pour le PTB : « C’est un cirque politique, ça suffit, si madame la ministre a menti, elle doit démissionner, comme madame Schlitz, et passons à autre chose » Georges Dallemagne, au nom des Engagés, exaspéré : « Que la Vivaldi se décide ! »
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