2023-09-14 01:05:00
[이데일리 김형환 기자] Un enseignant qui a retenu un élève qui perturbait la classe en faisant des farces pendant le cours a subi des dommages, notamment une dépression, après avoir reçu des plaintes continues de ses parents. Les autorités éducatives ont déterminé que les droits de l’enseignant avaient été violés. En conséquence, les parents ont intenté une action en justice pour annuler la décision du Comité pour la protection des droits des enseignants, et le résultat final sera rendu public le 14.
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La 2e division de la Cour suprême (le juge en chef Lee Dong-won) tiendra une audience d’appel le 14 pour le procès intenté par le parent A contre les autorités éducatives pour annuler la décision du Comité de protection des droits éducatifs.
Auparavant, en avril 2021, lorsqu’un enseignant du primaire, M. B, avait remarqué qu’un élève de deuxième année jouait et perturbait la classe pendant le cours, il avait mis le nom de l’élève à côté d’un carton rouge au tableau et l’avait fait nettoyer pendant environ 10 minutes après l’école. Après avoir appris cela, M. A a continué à demander un remplacement pour le professeur principal pendant une période considérable après la fin de l’école ce jour-là et a refusé de permettre à l’élève d’y assister pendant cette période.
L’enseignant B, stressé par les plaintes continues de M. A, a pris un congé de maladie pour cause de dépression, et les autorités éducatives ont ouvert un comité de protection des droits d’enseignement afin de déterminer s’il s’agissait d’une violation des droits d’enseignement. Le Comité pour la protection des droits éducatifs a déterminé que les actions de M. A constituaient une violation des droits éducatifs et a envoyé un avis de résultat de l’action indiquant : « Recommandation de mettre fin aux ingérences injustes répétées, qui constituent une atteinte aux activités éducatives. » En réponse à cette décision, M. A a intenté une action en justice.
Le premier tribunal de première instance a statué que les actions de M. A constituaient une violation des droits d’enseignement. La raison en est que les plaintes continues de M. A violaient les activités éducatives légitimes de M. B.
Le jugement du deuxième procès était différent. En effet, le comportement de « carton rouge » de M. B pendant les cours était considéré comme de la maltraitance envers les enfants en vertu de la loi sur la répression des mauvais traitements envers les enfants. Le deuxième tribunal de première instance a statué que « divulguer les noms d’enfants qui ne respectent pas la discipline ou les obliger à effectuer des travaux de nettoyage constitue une violation de la dignité humaine ».
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