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La Russie prépare son retour vers la Lune, soutenue par les États-Unis

La Russie prépare son retour vers la Lune, soutenue par les États-Unis

Près de cinq décennies après son dernier essai, la Russie, avec le soutien des États-Unis, s’apprête à lancer un engin spatial en direction de la Lune.

Contrairement à la Chine, qui est considérée comme un concurrent dans la course à l’espace, la NASA ne perçoit pas Roscosmos comme une menace dans cette compétition historique entre les deux nations pour la conquête spatiale.

Bill Nelson soutient Roscosmos et indique qu’Artémis 3 va dépasser la Chine

Lors d’une conférence de presse présentant la mission Artémis 2, qui prévoit l’envoi d’astronautes au-delà de la Lune d’ici novembre 2024, le chef de la NASA, Bill Nelson, a exprimé son soutien à l’agence spatiale russe Roscosmos quant à son prochain lancement vers la Lune.

Bill Nelson a souligné la longue histoire de collaboration entre les États-Unis et la Russie. En particulier la construction et l’exploitation de la station spatiale internationale depuis 1975. Il a également évoqué la Chine, qui prévoit d’envoyer des taïkonautes sur la Lune d’ici 2030, mais qui pourrait être en retard par rapport à l’atterrissage de la mission Artémis 3.

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Course vers la lune, la NASA éloigne supprime la Russie de sa liste de concurrents

Nelson a exprimé son espoir que la Chine n’atteigne pas en premier le pôle Sud lunaire et ne réclame ensuite un droit exclusif sur cette région. Il a souligné que la véritable course à l’espace se joue entre les États-Unis et la Chine. Mais aussi que la protection des intérêts de la communauté internationale est essentielle dans cette compétition.

Le lancement prévu par la Russie marque le début de son nouveau programme lunaire, alors qu’elle cherche à renforcer sa collaboration spatiale avec la Chine et à développer ses propres initiatives. Bien que la Russie ambitionne de se poser près du pôle Sud de la Lune et se prévale de son passé soviétique en tant que grande puissance spatiale, la NASA ne la considère pas comme un concurrent direct pour l’instant. La véritable rivalité se joue entre les États-Unis et la Chine. Et toujours d’après Nelson, la Chine est considérée comme une menace potentielle pour la communauté internationale dans la course à l’espace.

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Cela prend tout son sens, car la Chine a récemment dévoilé ses projets d’envoyer des taïkonautes sur la Lune d’ici 2030. Cette annonce survient à la fin du mois de mai dernier, et elle positionne la Chine pour réaliser cet exploit près de cinq ans après le prévu atterrissage de la mission Artémis 3. Cependant, il est à noter que des retards pourraient survenir dans l’exécution de ces plans ambitieux.

La Chine veut atteindre le pôle sud de la lune, Nelson réplique

Dans ce contexte, Bill Nelson a émis une mise en garde en déclarant : “Naturellement, je ne veux pas que la Chine soit la première à atteindre le pôle Sud lunaire, puis proclame : C’est notre territoire, tenez-vous à distance'”.

Cette déclaration met en évidence l’importance accordée à la course pour les emplacements clés sur la Lune. Dont le pôle Sud, où diverses activités scientifiques et exploratoires pourraient avoir lieu. Nelson exprime ainsi la préoccupation que la Chine revendique une portion de la Lune comme sa propriété après avoir réussi à y accéder en premier, alors que la Chine ne prévoit d’envoyer des taïkonautes que d’ici 2030.

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