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La rivalité tendue entre le Canadien et les Hurricanes se poursuit

La rivalité tendue entre le Canadien et les Hurricanes se poursuit

Au cours des dernières années, il y a eu une certaine rivalité entre le Canadien et les Hurricanes. Marc Bergevin a ouvert les hostilités en faisant une offre hostile à Sebastian Aho en 2019, puis les Hurricanes ont riposté en faisant une offre hostile à Jesperi Kotkaniemi à l’été 2021.

Et on se souviendra qu’ils n’ont pas hésité à narguer le Tricolore pendant le processus, et même longtemps après.

En coulisses, il semble que la guerre entre les deux clubs était également très présente. On se souvient que c’est le CH qui aurait dénoncé l’horaire préparatoire illégal des Hurricanes en 2021, et clairement, les deux clubs ne s’aimaient pas.

De plus, même en ce qui concerne les bonnes pratiques entre les deux clubs, il semblerait que les tensions étaient vives. Dans un extrait du dernier livre de Pierre Gervais (qui sera publié lundi en précommande et mercredi officiellement) partagé par Mathias Brunet ce matin, on apprend que lorsque Joel Edmundson est arrivé en ville, les Hurricanes n’ont envoyé qu’une poignée de bâtons au CH, alors que la coutume veut normalement qu’on envoie tous les bâtons restants du joueur.

En fait, au lieu d’envoyer tous les bâtons du défenseur, les Canes n’en ont envoyé que six et ils ont pris le crédit pour les autres, si bien que Gervais a dû passer directement par la compagnie pour obtenir les autres bâtons.

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En réalité, les Badgers du Wisconsin ont fait grossièrement la même chose lorsque Cole Caufield est arrivé à Montréal, mais les universités ont des budgets plus serrés, donc cela se défend dans leur cas. Les Hurricanes, quant à eux, l’ont fait par vengeance… ou simplement parce qu’ils étaient “cheap”.

Au moins, Gervais et le CH n’ont pas hésité à se venger par la suite face aux Hurricanes. Lorsque Jesperi Kotkaniemi est arrivé à Raleigh, il l’a fait avec seulement une poignée de bâtons, et Gervais n’a pas hésité à dire à son homologue en Caroline de passer par Bauer pour obtenir des bâtons.

Est-ce que je vous ai dit que ces deux clubs ne s’aimaient pas?

La réaction de base des Hurricanes, qu’elle soit motivée par des raisons financières ou par le désir de “vengeance”, est assez ordinaire. Si c’est lié à l’argent, c’est que le club est vraiment “cheap”, et si c’est pour se venger, c’est un peu ordinaire de traîner les préposés à l’équipement dans cette petite guerre.

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Parce que non, ce n’est pas Pierre Gervais qui a fait une offre hostile à Sebastian Aho.

On sent que le légendaire préposé à l’équipement pense que les raisons étaient financières, et si c’est le cas, il est assez absurde qu’une équipe de la LNH n’ait pas les moyens d’envoyer de simples bâtons à un autre club.

Finalement, peut-être que Marc Bergevin avait raison de penser que Tom Dundon était trop cassé pour égaler l’offre faite à Aho…

En rafale

– Beau geste du enfant.

– Quelle histoire tout croche

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