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La phrase de De Laurentiis à un ami est une phrase

La phrase de De Laurentiis à un ami est une phrase

NAPOLI – Sans se frapper trois fois la poitrine – mais en se démontrant qu’il en a une folle envie, au point de s’ouvrir la poitrine – Aurelio De Laurentiis il a mis sa fierté dans un coin de sa conscience, il a dépoussiéré cette saine colère qu’il portait depuis un mois maintenant et lorsqu’il s’est rendu compte qu’il n’y aurait ni commissaires ni tuteurs pour relancer le Naples du Purgatoire, pour éviter de ressentir les flammes de l’Enfer, il n’hésita pas à se brûler dignement. “L’erreur est humaine; mais persévérer avec le diable”. S’il l’avait voulu, il aurait pu le dire en français, qu’il affiche d’ailleurs avec maestria ; ou peut-être en anglais, avec qui il dîne à Los Angeles.
Et au lieu de cela, devant au moins s’absoudre (mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa), tandis que Naples-Empoli lui révélait la fragilité de ce choix désespérément soutenu le plus longtemps possible, il a viré de bord et s’est présenté avec l’addition. , sans hésiter, s’étant lui aussi permis trop : à la 45e minute d’un match imparfait, un autre, dans lequel Rudy García avait déchiré le Projet (le 4-3-3), ignoré le talent (celui de Zielinski et Kvaratskhelia) et griffonné sur l’avenir, alors que Kovalenko n’était pas encore apparu dans l’un des pires cauchemars de ses dix-neuf années de présidence, Aurelio De Laurentiis, dans les escaliers qui mènent des vestiaires à la tribune d’autorité, il est allé rencontrer un ami, lui a serré la main puis lui a raconté ses tourments. “L’erreur est humaine; mais persévérer avec le diabolique.

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