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“La mafia ‘modérée’ n’existe pas”, rappelle Rita Mattei dont le roman ‘Ninna nanna, una storia d’amore e di mafia’ est publié

“La mafia ‘modérée’ n’existe pas”, rappelle Rita Mattei dont le roman ‘Ninna nanna, una storia d’amore e di mafia’ est publié

Il s’inspire d’histoires vraies “d’amour et de mafia”, comme l’indique le sous-titre de “Berceuse”, écrit par la journaliste Rai Rita Mattei, correspondante spéciale de Tg2 et Tg3, où elle était rédactrice en chef de l’information nationale. . Connu pour ses enquêtes sur la mafia, la Camorra et la ‘Ndrangheta.

“A travers l’histoire de cette femme, je voulais raconter l’histoire des massacres, des complicités, des trahisons, des détournements. Vu à travers les yeux de Cosa Nostra – explique l’auteur à Adnkronos – Ma protagoniste a grandi dans le pain et la mafia. Elle n’a pas elle connaît un autre monde au-delà de ça. Elle a attendu onze ans que son petit ami sorte de prison, elle l’a épousé et l’a suivi dans la clandestinité. Après les massacres de 92, un de ses frères décide de collaborer avec l’état. homme de confiance de le parrain de Cosa nostra. Une trahison qui ne peut être lavée que par le sang”.

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Elle s’interroge alors sur les raisons qui ont pu le pousser à “devenir flic”. Il commence à se poser de plus en plus de questions, il cherche des réponses qui souvent n’arrivent pas, il écrit pour ne pas oublier. Et trouver le courage d’aller jusqu’au bout, d’affronter l’indicible. Elle réalise ce qu’est sa vie, à quel point son univers plein de contradictions est troublant : « un mari amoureux, affectueux, attentionné, mais capable d’ordonner des meurtres, peu importe que la victime ait dix ou quatre-vingts ans, qu’elle soit coupable ou non. Un homme religieux à sa manière, qui lit la Bible et va à la messe, mais qui est impliqué dans l’enlèvement et le meurtre d’un enfant, fils d’un repenti”.

Carmelina, c’est son nom, se rend-elle compte que la “bonne mafia”, celle qu’on lui a racontée enfant, n’était qu’un conte de fées ? “Oui, comment est une fable, celle inventée plus récemment, d’une ‘mafia modérée’ dont on parle – conclut Mattei – Cosa nostra est Cosa nostra. Point. Ma protagoniste le sait. Elle sait comment elle ne pourra jamais réaliser son rêve, devenir mère. Ses fausses couches sont la punition de son silence coupable”.

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