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La gestion différenciée, un choix écologique pour l’entretien des espaces verts, gagne en popularité dans les villes. La Ville de Montréal applique cette approche dans certains parcs et espaces verts, ce qui permet de réduire les coûts et d’encourager la biodiversité. En tondant seulement où c’est nécessaire, les plantes peuvent fleurir et attirer les insectes et les oiseaux, régulant ainsi la température. L’entreprise québécoise Gloco vend des mélanges de semences à gazon qui s’adaptent à différents sols et climats, résistent au piétinement et au sel de déglaçage, et sont moins chauds que le béton. Il n’est pas nécessaire d’avoir une pelouse parfaite, mais plutôt d’éviter la monoculture en utilisant des fleurs sauvages ou du trèfle. La professeure Danielle Dagenais de l’Université de Montréal a constaté que la pratique de la gestion différenciée est de plus en plus appliquée dans le monde entier. L’enjeu demeure l’acceptabilité sociale de ne pas tondre la pelouse, et il est important d’informer les citoyens et les employés sur les raisons pour lesquelles on agit ainsi.

La gestion différenciée, un choix écologique pour l’entretien des espaces verts, gagne en popularité dans les villes. La Ville de Montréal applique cette approche dans certains parcs et espaces verts, ce qui permet de réduire les coûts et d’encourager la biodiversité. En tondant seulement où c’est nécessaire, les plantes peuvent fleurir et attirer les insectes et les oiseaux, régulant ainsi la température. L’entreprise québécoise Gloco vend des mélanges de semences à gazon qui s’adaptent à différents sols et climats, résistent au piétinement et au sel de déglaçage, et sont moins chauds que le béton. Il n’est pas nécessaire d’avoir une pelouse parfaite, mais plutôt d’éviter la monoculture en utilisant des fleurs sauvages ou du trèfle. La professeure Danielle Dagenais de l’Université de Montréal a constaté que la pratique de la gestion différenciée est de plus en plus appliquée dans le monde entier. L’enjeu demeure l’acceptabilité sociale de ne pas tondre la pelouse, et il est important d’informer les citoyens et les employés sur les raisons pour lesquelles on agit ainsi.

L’employé en charge de la tonte du gazon n’a pas laissé son travail en plan, mais a opéré de manière écologique en coupant seulement où c’était nécessaire. Cela s’inscrit dans la pratique de gestion différenciée, une méthode qui permet d’adapter l’entretien des espaces verts en fonction de leurs caractéristiques et usages. Par exemple, dans le parc Félix-Leclerc de l’arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve à Montréal, il y a des espaces gazonnés peu utilisés qui ne nécessitent pas une tonte hebdomadaire. Cette approche réduit les coûts et favorise la biodiversité en permettant aux plantes et aux insectes de s’épanouir. La société Gloco vend des semences à gazon adaptées à différents types de sols et climats et produit même un gazon écologique contenant du trèfle. Cette pratique est de plus en plus appliquée dans le monde, mais l’acceptabilité sociale reste un enjeu. Il est important de bien informer les citoyens et les employés sur les raisons et les avantages de cette approche pour éviter les malentendus.

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