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La Féline, bonjour l’enfance – Magic RPM

La Féline, bonjour l’enfance – Magic RPM

“Tarbes”, le nouvel album de La Féline, est une exploration à rebours, tendre et lucide de ses origines et son parcours. Remontons à l’enfance.

Lors d’une rencontre avec Agnès Gayraud, l’âme et le corps de La Féline, nous avions déjà longuement évoqué son nouvel et quatrième album, le très beau Tarbes. Ce second entretien, après les dix pages parues dans notre trimestriel, est l’occasion de remonter aux sources de l’engagement musical de l’artiste, pour ainsi évoquer sa jeunesse, le territoire intime dans lequel elle opère, tout au long de Tarbesune exploration à rebours, tendre et lucide. La première fois, nous nous étions vus dans un café de la Butte aux Cailles à Paris, au cœur de l’été. À présent, nous nous téléphonons : ce sont les prémices de l’automne, Agnès est dans un parc avec son petit garçon et, tandis qu’elle songe à l’enfant qu’elle était, le sien s’invite parfois joyeusement dans notre conversation. Qui remonte le temps et pose la lumière sur une petite fille, une adolescente puis une jeune femme éprise de musique.

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Y a-t-il un souvenir sonore qui a marqué ton enfance ?

Je dirais le chant de ma mère en espagnol – elle chantait des chant flamencoles «chants profonds» [les chants les plus anciens et les plus primitifs du répertoire flamenco, ndlr]. Elle chantait constamment, à la porte de la salle de bains tandis que je prenais mon bain ou dans la cuisine quand elle préparait à manger…

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