Alors que la Banque Laurentienne traverse une forme de crise avec le remplacement de ses dirigeants, le chroniqueur économique Pierre-Yves McSween se demande si les concurrents seront en mesure de tirer parti de la situation. Selon lui, une banque propose des services, mais surtout, elle offre un lien de confiance à ses clients. Et ce lien de confiance a certainement été ébranlé ces derniers mois à la Banque Laurentienne.
Pierre-Yves aborde également la question des dons testamentaires, étant donné qu’il considère cette solution comme une réponse à une culture déficiente en matière de dons. Il explique avoir récemment enquêté sur l’univers des dons et confirme l’écart entre l’importance de la culture philanthropique chez les francophones et les anglophones.
Pourquoi l’Université McGill possède-t-elle une culture des dons plus développée que l’Université de Montréal ? Selon le chroniqueur, cela s’explique en partie par une question de richesse, mais également par une question de culture et de sécurité financière.
Mais le don testamentaire est-il vraiment une solution ?
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