Les syndicats de la CGT Energie ont annoncé, à l’issue d’un conseil général tenu le vendredi 21 avril, une période de “100 jours d’actions et de colère”. Cette initiative a pour but de demander l’abandon de la réforme des retraites proposée par le gouvernement et de dénoncer les méthodes “antidémocratiques” de celui-ci. Les syndicats de la CGT ont déclaré que “Macron a promis 100 jours pour apaiser, nous lui promettons 100 jours d’actions et de colère ! L’heure est loin d’être à la résignation”. Lors des journées de mobilisation interprofessionnelle du 28 avril et du 1er mai, les organisations syndicales prévoient d’exprimer leurs positions offensives, fermes et unanimes. Plus tard, le 3 mai, la FNME prévoit une journée nationale de colère dans l’énergie, annonçant également son intention d’être “imaginative”. Les perturbations énergétiques se poursuivront également lors des déplacements des membres du gouvernement. Les syndicats de la FNME-CGT ont décidé de mettre toutes les négociations de branche, quel que soit le sujet, sous la surveillance des salariés grévistes pour gagner sur toutes leurs revendications et bien plus. La CGT a revendiqué deux coupures de courant, l’une à l’aéroport de Montpellier et l’autre dans un collège de l’Hérault lors d’un déplacement d’Emmanuel Macron.
Un atlas clinique national est mis en ligne
2024-05-17 02:00:00 Le site Internet a été réalisé sous la responsabilité du BMG en étroite collaboration avec