La candidature de Chakib Alj et Mehdi Tazi pour un deuxième mandat a été validée.

Chakib Alj et Mehdi Tazi, les dirigeants de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM), ont récemment eu leur candidature validée pour un deuxième mandat à la tête de l’organisation patronale. Cette nouvelle a été accueillie avec enthousiasme par les membres de la CGEM, mais a également suscité des réactions mitigées au sein de la société marocaine. Dans cet article, nous allons explorer les enjeux liés à cette candidature ainsi que les défis qui attendent Alj et Tazi dans leur deuxième mandat à la présidence de la CGEM.


La Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM) a tenu son Conseil d’Administration vendredi, sous la présidence de Chakib Alj. L’unique candidature reçue pour les postes de président et de vice-président général de la CGEM a été examinée lors de cette réunion, comme l’indique le communiqué.

“Après avoir examiné le rapport de la commission de suivi des élections, instituée en vertu de l’article 7.2 du règlement intérieur de la Confédération, le conseil d’administration a validé la candidature du binôme, M. Chakib Alj et Mehdi Tazi, candidats respectivement aux postes de président et de vice-président général, qui remplit toutes les conditions d’éligibilité prévues par les statuts et le règlement intérieur de la CGEM”, précise le communiqué.

La session du Conseil d’Administration a également été l’occasion pour le président et son adjoint de présenter le bilan du mandat 2020-2023, marqué par une période de conjoncture économique mondiale inédite engendrant des enjeux considérables pour les entreprises. “La présidence de la CGEM a saisi l’occasion pour remercier l’ensemble des parties prenantes de la CGEM – Fédérations, Régions CGEM, Commissions, Groupe parlementaire et Équipe interne – pour leur mobilisation et leur engagement sans faille tout au long de ce mandat riche en réalisations”, conclut le communiqué.