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La 1ère promotion du STF analyse le lien entre Shéhérazade et SBT le 8 mars

La 1ère promotion du STF analyse le lien entre Shéhérazade et SBT le 8 mars

Le 1er groupe du STF analysera, en séance plénière virtuelle, s’il existe ou non une relation de travail entre le journaliste Rachel Shéhérazade et le diffuseur SBT. L’affaire est prévue pour le 8 mars. La clôture, s’il n’y a pas de demande de visualisation ou de mise en valeur, aura lieu le 15/03.

De manière monocratique, le ministre Alexandre de Moraes a révoqué la décision qui avait reconnu la relation de travail entre le journaliste et la chaîne. C’est contre cette décision que la défense proteste. Le ministre avait alors estimé que la reconnaissance de ce lien contredisait les décisions du STF sur la légalité de l’externalisation de toutes les activités principales.

Le 1er panel STF analyse le lien entre Sheherazade et SBT.(Image : reproduction/Instagram)

souviens-toi

La journaliste Rachel Sheherazade a poursuivi SBT en justice, alléguant qu’elle avait travaillé pour la chaîne entre 2011 et 2020, mais que, même si elle travaillait en tant qu’employée, son contrat de travail n’était pas enregistré dans son CTPS.

Devant le tribunal, la journaliste a demandé le paiement de diverses indemnités de travail, telles que le 13ème salaire, les vacances, les FGTS et les avantages de sa profession. Outre ces demandes, le journaliste a demandé des dommages moraux en raison d’un épisode diffusé à la télévision nationale lors du Trophée Imprensa 2017.

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SBT, à son tour, a nié que Sheherazade ait exercé les activités exclusives d’un journaliste, n’ayant donc pas droit aux avantages d’une telle catégorie professionnelle. Selon la chaîne, les rémunérations convenues entre les parties auraient été réajustées périodiquement, avec des pourcentages supérieurs à ceux prévus par les règles collectives.

Relation de travail millionnaire

En 2022, un juge travailliste a estimé que le travail de Sheherazade s’était déroulé sur une longue période, sans solution de continuité, entre 2011 et 2020, « toujours de manière habituelle, personnelle, rémunérée et surtout subordonnée ».

Le juge a alors reconnu que les parties maintenaient un contrat de travail et a donc condamné l’entreprise SBT au paiement de sommes de main-d’œuvre (préavis indemnisé, 13e salaire, indemnité pour 1/3 supplémentaire, etc.) et d’une indemnité pour préjudice moral de 500 000 BRL. . À l’époque, le juge avait estimé la valeur de la peine à 4 millions de reais.

Le TRT de la 2ème région a maintenu la condamnation prononcée dans la peine. Après avoir renvoyé l’affaire devant le TST, l’appel interlocutoire reste en attente de jugement.

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Le SBT a ensuite poursuivi le STF, alléguant que les ententes données par la Cour concernant la validité de l’externalisation de toutes les activités principales n’avaient pas été respectées.

Lien supprimé

Analysant le cas de manière monocratique, le ministre Alexandre de Moraes a souligné que les décisions méconnaissaient le contrat de prestation de services et déclaraient l’existence d’une relation de travail. Moras a souligné que dans l’arrêt sur le sujet 725, le STF a reconnu la possibilité d’organiser la division du travail non seulement par l’externalisation, mais par d’autres moyens développés par les agents économiques.

Par ailleurs, le ministre a rappelé l’arrêt ADPF 324, dans lequel le Tribunal a établi la constitutionnalité de l’externalisation des activités de base ou de moyens.

“L’interprétation commune des précédents permet de reconnaître la licéité d’autres formes de relation de travail autres que la relation de travail régie par la CLT, comme par exemple dans l’externalisation elle-même ou dans des cas spécifiques, comme la disposition sur le caractère civil de la relation. découlant des contrats signés conformément à la loi 11.442/07.”

Ainsi, pour le ministre, la conclusion adoptée par les juridictions inférieures contredisait celles décidées par la Cour suprême.

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Compte tenu de cela, la demande de révocation de la peine et de rejet de l’action collective a été accueillie.

Un recours interne a été déposé contre cette décision, qui va maintenant être analysé par le 1er collège du STF.

Cas similaire

Au cours de la même session virtuelle, les ministres analyseront le cas du journaliste Hermano Henning contre le même diffuseur. Le rapporteur du procès est la ministre Cármen Lúcia.

En décembre, le ministre a révoqué la décision du TRT de la 2e région reconnaissant la relation de travail, au même titre qu’Alexandre de Moraes dans l’affaire Sheherazade.

“Cette décision n’est pas conforme à l’interprétation adoptée par le Tribunal fédéral dans l’arrêt sur l’allégation de non-respect du précepte fondamental n° 324.”

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