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Kacey Musgraves, ERNEST et plus

Kacey Musgraves, ERNEST et plus

Cette semaine, Kacey Musgraves nous propose une superbe ballade folk extraite de son album Puits plus profond, tandis qu’ERNEST fait équipe avec l’omniprésent Jelly Roll pour un nouveau morceau, et Cyndi Thomson revient avec « The Georgia in Me ». Voir tout cela et bien plus encore Panneau d’affichage sélections ci-dessous pour le meilleur nouveau pays de la semaine.

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Kacey Musgraves, “L’architecte”

ERNEST exploit. Jelly Roll, “Je suis allé à l’université/Je suis allé en prison”

La musique country a une longue tradition d’artistes faisant un signe de tête à leurs propres moments moins brillants qui deviennent des éléments centraux de leur légende et de leur héritage, de « Mama Tried » de Haggard à « No Show Jones » de George Jones. ERNEST et Jelly Roll sont tous deux originaires de Nashville et dans cette collaboration, ils détaillent leurs parcours non conventionnels vers la célébrité, depuis l’abandon d’ERNEST après un an d’université et l’évolution de Jelly Roll de cellule de prison à artiste lauréat du prix CMA. En cours de route, ils ont également tous deux payé leur cotisation à l’industrie musicale.

« Qui est sorti vainqueur/Enfer, c’est difficile à dire », chantent-ils triomphalement, soutenus par un déchaînement de guitares en acier, de violon et de piano. Jelly indique même l’emplacement du centre de justice pénale qui est au cœur d’une grande partie de son histoire. ERNEST a écrit la chanson avec Chandler Paul Walters, Luke Bryan et Rivers Rutherford., et “I Went to College/I Went to Jail” se retrouvera sur le prochain album d’ERNEST le 12 avril. Nashville, Tennessee.

Cyndi Thomson, « La Géorgie en moi »

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Dans les deux décennies qui ont suivi la sortie de son premier album Mon monde, remportant le hit Country Airplay avec «What I Really Meant to Say», puis choisissant de laisser derrière elle son rôle d’artiste d’enregistrement, cette native de Géorgie a sorti de la musique de façon sporadique. Sa voix traînante et sombre est toujours aussi puissante qu’un magnolia du Sud et est au centre de sa première nouvelle musique depuis 2016, avec cette chanson qu’elle a écrite avec Paul Sikes (« Wildflowers and Wild Horses », « Make Me Want To »). »). Elle se souvient des étés d’adolescents passés sur des chemins de terre rouges, remplis de samedis soirs amusants et de dimanches matins glorieux, la chanson faisant également un clin d’œil à une autre chanteuse country née en Géorgie, Trisha Yearwood. Ce morceau à la fois doux et sucré est un ajout solide au canon musical trop bref de Thomson.

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Matt Koziol, “J’étais”

La voix rauque et vieillie de Koziol donne un véritable air de blues-country, alors qu’il se souvient de ses jours passés où il volait trop vite sur une route insalubre et de toutes les fois où il était « en tête de la liste de prières » et la « raison du dernier appel ». Le piano discret et les percussions confèrent une chaleur de chêne au feu crépitant d’une voix de Koziol. Ce morceau, que Koziol a écrit avec Kenton Bryant, est tiré du prochain album de Koziol du 5 avril. Le dernier des vieux chiensqui fait suite à son projet 2022 Cheval sauvage et la version de luxe de 2023 Cheval sauvage (Vie en barrique).

Ben Rector et Hailey Whitters, « Colorez mon monde »

Cette chanson d’amour décalée et réconfortante parvient à faire un clin d’œil à Pat Green, Bob Ross et aux costumes nus turquoise en l’espace d’un peu plus de deux minutes. Sur ce morceau moucheté de banjo, la voix de Rector équilibre à la fois l’esprit vif et le charisme, tandis que le doux twang de Whitters est l’édulcorant.

Madison Hughes, “Je déteste que tu m’aimes”

La voix L’ancien élève Hughes a percé l’année dernière avec une reprise de « I Deserve a Drink » de Morgan Wallen. Son dernier album plonge plus loin dans le royaume du blues que dans le country simple, et devient un témoignage imposant des talents de guitariste adroits de Hughes et de sa voix ronronnante. Sa voix est lasse du monde, ses sons de guitare teintés d’angoisse, alors qu’elle raconte une histoire relatable de chute à corps perdu pour un briseur de cœur charismatique. Hughes, extrêmement talentueux, est sur le point de devenir une star.

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Riley Green, “La sortie ici”

Avant que Keith Urban ne fasse un clin d’œil à trois « John » dans « John Cougar, John Deere and John 3:16 », l’auteur-compositeur-interprète Josh Thompson a rendu hommage à son propre trio d’icônes nommé John – Johnny Cash, John Wayne et John Deere – dans son top 20 des Hot Country Songs de 2010. Aujourd’hui, Riley Green propose sa propre interprétation du hit de Thompson. “Nous ne prenons pas un centime si nous ne l’avons pas mérité/Quand il s’agit de poids, mon frère, nous tirons le nôtre”, chante Riley. Son approche est plus sobre, avec une production légèrement plus maussade, sur cette chanson vieille de 15 ans sur la défense de la vie rurale, mais il livre ce morceau avec beaucoup de cœur.

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