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Joan Mir : “J’ai tellement souffert, tellement que je refuse de rêver”

Joan Mir : “J’ai tellement souffert, tellement que je refuse de rêver”

2024-02-10 01:57:37

Il a disparu. Vivez derrière l’ombre. Il a mangé beaucoup de conneries et n’a jamais ouvert la bouche. Il est arrivé à monde flottant et, tout à coup, le voir gagner Moto3commença la chanson que provoquent toutes les bonnes personnes, les vraiment bonnes : “Mir arrive, Mir arrive…” Et Mir est arrivé, même si cela lui a coûté Dieu et son aide pour clôturer son premier titre en Coupe du Monde, celui de Moto3 (2017). Ensuite, parce qu’il ne voulait pas poursuivre Moto2, ou oui, mais ça n’a pas marché. Et soudain, le voici ! Champion du monde MotoGP. Je le répète, du MotoGP (Suzuki, 2020).

Et le refrain commençait que c’était une opportunité unique, que s’il avait été blessé Marc Marquezque s’il n’avait gagné qu’une seule course, que si….Double champion du monde, messieurs !inclinez-vous devant Joan Mir. Tout le monde n’est pas double champion et tout le monde n’est pas champion de MotoGP. Le monstre non plus Randy Mamolani notre monstre préféré, le petit Les jours de Pedrosaun ciel de pilote, un prodige sur la piste.

Pero, repito, Mir no hace ruido, Mir va por la vida con zapatos de gamuza, Mir solo quiere tener una moto que le permita ser competitivo. “Ya, pero Mir no se quiere matar”, dicen aquellos que le critican no arriesgar hasta el límite cuando la moto no está en su sitio. Pero Mir sigue empeñado en volver a ganar y a ser campeón del mundo. Y sabe que le costará pero, de pronto, llega a Sepang (Kuala Lumpur, Malasia) y empieza a ver la luz al final del túnel. Y vuelve a estar entre los mejores, que no favoritos (aún).

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Joan Mir, attendant de sortir de sa boîte, à Sepang (Malaisie). / JESÚS ROBLEDO

Se ha ido Marc Márquez de Honda, del ‘team’ Repsol, se ha ido la luz, el faro, la referencia y Mir se ha quedado con el equipo de MM93, con el ingeniero Santi Hernández (“¡que claro lo tiene todo, Dios!”, le elogia Mir), para intentar remontar el vuelo. La fábrica alada ha llevado a Sepang un buen proyecto de moto, un motor que, según Jorge Martín (Ducati), “corre una barbaridad”. Y Mir se ríe, porque el comentario viene de un piloto de Ducati. “Tiene guasa, el tema”.



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