Il s’agit du drapeau des paramilitaires russes du groupe Wagner, qui représente une tête de mort blanche menaçante sur un fond noir. Selon Jeune Afrique, cela contredit le discours officiel du régime d’Assimi Goïta mettant en avant l’armée malienne. Malgré le rôle déterminant des mercenaires de Wagner dans la reprise de la ville septentrionale, les autorités maliennes n’ont pas reconnu leur implication.
Les autorités maliennes ont réagi avec colère en voyant le drapeau des paramilitaires russes hissé sur le fort de Kidal. Elles ont finalement rétabli l’étendard malien au sommet du fort, affirmant que la souveraineté du pays était un pilier de leur combat.
La découverte d’un charnier attribué aux rebelles du CSP soulève de nombreuses questions. Les rebelles ont démenti et ont dénoncé une mise en scène de l’armée malienne, mais il est difficile de démêler le vrai du faux. La presse malienne ne mentionne pas le drapeau des paramilitaires russes et met en avant la victoire des forces armées maliennes, montrant ainsi la capacité du Mali à se défendre contre les terroristes et leurs soutiens.
En République Démocratique du Congo, la campagne électorale est menacée par l’insécurité dans certaines régions, notamment autour de Goma. De plus, des accusations de partialité dans le traitement réservé au clan de Moïse Katumbi ont été formulées, mettant en péril l’équité de la campagne électorale.
Moïse Katumbi tente de s’imposer comme le candidat commun de l’opposition, mais des dissensions au sein de l’opposition ont été révélées. Certains membres de l’opposition se demandent s’il est bénéfique de rester en dehors d’un ticket commun.