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La vedette du rap Eminem a formellement demandé au candidat républicain à la présidentielle américaine Vivek Ramaswamy d’arrêter de rapper ses morceaux en campagne, selon une lettre rendue publique lundi.

• À lire aussi: Débat républicain: Vivek Ramaswamy, le Trump 2.0, vole la vedette

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• À lire aussi: Un débat républicain tendu que Trump écrase de son absence

Une vidéo de l’entrepreneur, qui profite d’une ascension surprise dans la course aux primaires républicaines, en train de rapper le morceau «Lose Yourself» lors d’un événement politique dans l’Iowa, était devenu viral il y a quelques semaines.

L’organisme américain de protection des droits musicaux, BMI, a indiqué dans une missive révélée par le DailyMail et dont l’authenticité a été confirmée à l’AFP avoir reçu «une requête officielle» d’Eminem exigeant que le candidat trentenaire n’utilise plus ses musiques.

Ce novice complet de la politique, qui se plaît à s’imaginer en «Trump 2.0», occupe désormais, à la surprise générale, la troisième place dans les sondages pour les primaires républicaines, organisées début 2024.

Au cours de ses études à Harvard, il s’était fait remarquer pour ses talents de rappeur, sous le surnom de «Da Vek», un alter ego adepte de textes libertariens.

«Si vous pensez que l’orateur Vivek Ramaswamy est intense, c’est que vous n’avez pas encore rencontré Da Vek», notait avec humour The Crimson, le journal étudiant de l’université, en 2006.

Lors des deux dernières élections présidentielles, plusieurs artistes de renom, parmi lesquels Pharrell Williams, Rihanna, Aerosmith ou Adele, ainsi que les héritiers de Prince, s’étaient plaints que leurs titres soient joués lors de réunions de campagne de Donald Trump.

Le célèbre groupe de rock britannique Rolling Stones avait même menacé le républicain d’une action en justice s’il continuait à utiliser leur tube «You Can’t Always Get What You Want».

in French

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La vedette du rap Eminem a formellement demandé au candidat républicain à la présidentielle américaine Vivek Ramaswamy d’arrêter de rapper ses morceaux en campagne, selon une lettre rendue publique lundi.
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Une vidéo de l’entrepreneur, qui profite d’une ascension surprise dans la course aux primaires républicaines, en train de rapper le morceau «Lose Yourself» lors d’un événement politique dans l’Iowa, était devenu viral il y a quelques semaines.
L’organisme américain de protection des droits musicaux, BMI, a indiqué dans une missive révélée par le DailyMail et dont l’authenticité a été confirmée à l’AFP avoir reçu «une requête officielle» d’Eminem exigeant que le candidat trentenaire n’utilise plus ses musiques.
Ce novice complet de la politique, qui se plaît à s’imaginer en «Trump 2.0», occupe désormais, à la surprise générale, la troisième place dans les sondages pour les primaires républicaines, organisées début 2024.
Au cours de ses études à Harvard, il s’était fait remarquer pour ses talents de rappeur, sous le surnom de «Da Vek», un alter ego adepte de textes libertariens.
«Si vous pensez que l’orateur Vivek Ramaswamy est intense, c’est que vous n’avez pas encore rencontré Da Vek», notait avec humour The Crimson, le journal étudiant de l’université, en 2006.
Lors des deux dernières élections présidentielles, plusieurs artistes de renom, parmi lesquels Pharrell Williams, Rihanna, Aerosmith ou Adele, ainsi que les héritiers de Prince, s’étaient plaints que leurs titres soient joués lors de réunions de campagne de Donald Trump.
Le célèbre groupe de rock britannique Rolling Stones avait même menacé le républicain d’une action en justice s’il continuait à utiliser leur tube «You Can’t Always Get What You Want».in French

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La vedette du rap Eminem a formellement demandé au candidat républicain à la présidentielle américaine Vivek Ramaswamy d’arrêter de rapper ses morceaux en campagne, selon une lettre rendue publique lundi.

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L’organisme américain de protection des droits musicaux, BMI, a indiqué dans une missive révélée par le DailyMail et dont l’authenticité a été confirmée à l’AFP avoir reçu «une requête officielle» d’Eminem exigeant que le candidat trentenaire n’utilise plus ses musiques.

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Au cours de ses études à Harvard, il s’était fait remarquer pour ses talents de rappeur, sous le surnom de «Da Vek», un alter ego adepte de textes libertariens.

«Si vous pensez que l’orateur Vivek Ramaswamy est intense, c’est que vous n’avez pas encore rencontré Da Vek», notait avec humour The Crimson, le journal étudiant de l’université, en 2006.

Lors des deux dernières élections présidentielles, plusieurs artistes de renom, parmi lesquels Pharrell Williams, Rihanna, Aerosmith ou Adele, ainsi que les héritiers de Prince, s’étaient plaints que leurs titres soient joués lors de réunions de campagne de Donald Trump.

Le célèbre groupe de rock britannique Rolling Stones avait même menacé le républicain d’une action en justice s’il continuait à utiliser leur tube «You Can’t Always Get What You Want».

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