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Avec notre correspondante à Johannesburg, Claire Bargeles

Alors que le président sud-africain refuse toujours de s’exprimer clairement sur le sujet, des documents rendus publics par la justice ont parlé pour lui. Étant signataire du Statut de Rome, l’Afrique du Sud serait dans l’obligation d’arrêter le chef du Kremlin s’il venait à se présenter sur son sol lors du sommets des BRICS.

Mais selon Cyril Ramaphosa, « la Russie a clairement indiqué qu’arrêter son président en exercice serait une déclaration de guerre. Et il ne serait pas cohérent, avec notre Constitution, de nous risquer à entrer en guerre » avec elle. Le chef de l’État sud-africain répondait dans ces documents à une requête du principal parti d’opposition du pays, qui tente de s’assurer que la justice suivra son cours si Vladimir Poutine se présente en personne.

À lire aussiLe sommet des BRICS se tiendra en Afrique du Sud avec ou sans la présence de Poutine

Comme Paul Mashatile, le vice-président sud-africain, l’a détaillé dans les médias locaux, le chef de l’État russe a jusqu’à présent refusé les autres options proposées par Pretoria, à savoir une intervention en ligne ou l’envoi de son ministre des Affaires étrangères. Le déplacement du sommet dans un autre pays a également échoué.

À lire aussiJustice internationale : dans les rouages de la lutte contre l’impunité

in French

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Avec notre correspondante à Johannesburg, Claire BargelesAlors que le président sud-africain refuse toujours de s’exprimer clairement sur le sujet, des documents rendus publics par la justice ont parlé pour lui. Étant signataire du Statut de Rome, l’Afrique du Sud serait dans l’obligation d’arrêter le chef du Kremlin  s’il venait à se présenter sur son sol lors du sommets des BRICS.Mais selon Cyril Ramaphosa, « la Russie a clairement indiqué qu’arrêter son président en exercice serait une déclaration de guerre. Et il ne serait pas cohérent, avec notre Constitution, de nous risquer à entrer en guerre » avec elle. Le chef de l’État sud-africain répondait dans ces documents à une requête du principal parti d’opposition du pays, qui tente de s’assurer que la justice suivra son cours si Vladimir Poutine se présente en personne.
À lire aussiLe sommet des BRICS se tiendra en Afrique du Sud avec ou sans la présence de PoutineComme Paul Mashatile, le vice-président sud-africain, l’a détaillé dans les médias locaux, le chef de l’État russe a jusqu’à présent refusé les autres options proposées par Pretoria, à savoir une intervention en ligne ou l’envoi de son ministre des Affaires étrangères. Le déplacement du sommet dans un autre pays a également échoué.À lire aussiJustice internationale : dans les rouages de la lutte contre l’impunité
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Avec notre correspondante à Johannesburg, Claire Bargeles

Alors que le président sud-africain refuse toujours de s’exprimer clairement sur le sujet, des documents rendus publics par la justice ont parlé pour lui. Étant signataire du Statut de Rome, l’Afrique du Sud serait dans l’obligation d’arrêter le chef du Kremlin s’il venait à se présenter sur son sol lors du sommet des BRICS.

Mais selon Cyril Ramaphosa, « la Russie a clairement indiqué qu’arrêter son président en exercice serait une déclaration de guerre. Et il ne serait pas cohérent, avec notre Constitution, de nous risquer à entrer en guerre » avec elle. Le chef de l’État sud-africain répondait dans ces documents à une requête du principal parti d’opposition du pays, qui tente de s’assurer que la justice suivra son cours si Vladimir Poutine se présente en personne.

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Comme Paul Mashatile, le vice-président sud-africain, l’a détaillé dans les médias locaux, le chef de l’État russe a jusqu’à présent refusé les autres options proposées par Pretoria, à savoir une intervention en ligne ou l’envoi de son ministre des Affaires étrangères. Le déplacement du sommet dans un autre pays a également échoué.

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